Léna (1/2)
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
telnet,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
nostalgie,
inithf,
Auteur: Filo, Source: Revebebe
... mais je savais que le reste à venir le compenserait largement.
Je lui ouvris et lui cédai l’honneur d’entrer. J’avais évidemment tout bien rangé pour l’occasion sans non plus aller jusqu’à étaler des pétales de roses partout. Par contre, j’avais acheté un bouquet de fleurs que j’avais mis dans un vase. Léna les vit et s’en moqua :
— On est un amoureux des fleurs ?
— Je me suis dit que tu les aimerais.
— Philippe, toujours si prévenant.
Elle s’approcha de moi posa ses mains sur mes hanches et m’embrassa. Entre ses baisers, elle murmura :
— Prévenant. Gentil. Trop gentil.
Ses mains avaient commencé à me déshabiller. À la fin de sa phrase, elle m’avait déjà mis torse nu. Elle me sourit en retroussant légèrement ses lèvres d’un côté, comme pour se moquer :
— Beaucoup trop gentil. Beaucoup trop.
Sans me lâcher des yeux, elle déboutonna mon pantalon, s’accroupit pour m’aider à l’enlever ainsi que mes chaussettes.
Je me retrouvai juste en boxer devant elle. Elle qui avait encore son manteau. Bons dieux, ça ne devait même pas faire moins d’une minute qu’elle avait passé la porte ! Elle se releva en laissant courir ses doigts sur mon corps et m’annonça, la voie tremblant presque d’impatience :
— Voilà ce qui va se passer. Je vais me mettre à genoux devant toi et baisser ton boxer. Là, ta queue sortira et je commencerai à te sucer lentement. On t’a déjà sucé ?
Voilà qui est cru et certains considéreront même ces paroles comme vulgaires. Mais quand ...
... cette fille avec cette si innocente et trompeuse apparence vous lâche ces mots, votre cœur manque un battement. En réalité, je n’arrivais toujours pas à réaliser que tout cela se produisait vraiment et ne faisait même que commencer.
— Non, avouais-je, un peu penaud pour le coup. Je n’ai jamais eu cet honneur.
— Toujours aussi protocolaire, cher Philippe, même là.
— Appelle-moi Filo. Il n’y a que ma grand-mère qui m’appelle Philippe et j’ai pas envie de penser à elle, là, tout de suite.
Pourquoi je lui dis ça, là, maintenant ? Une fille superbe se tient devant moi, décidée à m’avaler comme la meilleure des glaces et je la corrige au sujet d’un surnom stupide que je traîne depuis la primaire à cause de la série « la Philo selon Philippe » du Club Dorothée. Elle peut m’appeler Jean-Robert si ça lui chante ! On va mettre ça sur le compte du stress et le besoin de se raccrocher à une certaine réalité devant autant d’improbabilité.
Comme plusieurs fois auparavant, elle ignorait mes maladresses comme si elles étaient toutes naturelles.
— Comme tu veux, Filo.
Ses mains commencèrent à caresser la bosse de mon boxer.
— Tu vas adorer, continua-t-elle. Tu vas adorer et, surtout, je veux que tu te laisses aller. Que tu en profites. N’essaye pas de te retenir.
La pression se fit plus forte sur mon membre. Elle reprit sa voix qu’elle semblait dédier aux phrases salaces, un ton gourmand et impatient :
— Je veux que tu viennes dans ma bouche. Je veux que ton plaisir la ...