1. Léna (1/2)


    Datte: 17/06/2018, Catégories: fh, jeunes, telnet, Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, init, nostalgie, inithf, Auteur: Filo, Source: Revebebe

    ... remplisse. J’ai envie de te goûter et de ne pas en laisser échapper une goutte.
    
    Ohlala, heureusement que je ne devais pas me retenir, car j’aurais été incapable de le faire après ça !
    
    Elle me sourit non sans m’embrasser puis se mit en devoir d’exaucer sa prophétie. Elle se mit à genoux devant moi et tira mon boxer vers le bas. Mon sexe jaillit, enfin libéré de sa prison de tissu. Il était bandé comme un arc, bouillant, perlant déjà d’excitation. Rapidement, le boxer fut complètement retiré, me laissant nu devant Léna.
    
    Ses yeux ne lâchaient pas ma verge qui se tendait vers son visage si proche. Elle semblait hésiter. Elle qui avait été si sûre d’elle jusqu’à présent semblait bloquée comme si ça lui coûterait d’aller plus loin. Vu son comportement depuis notre rencontre, tout indiquait que sucer ne pouvait être qu’une habitude presque quotidienne avec de nombreux partenaires. Pourtant, un éclair de panique à peine détectable traversa même son regard. Je n’eus pas le temps de m’enquérir de son trouble que cette expression fugitive fut rapidement remplacée par un grand sourire coquin et gourmand.
    
    Avec une demi-hésitation, ses mains vinrent caresser l’avant de mes cuisses, remonter sur mon torse, redescendre sur mon ventre, mon pubis. Elles se placèrent de part et d’autre de ma virilité impatiente, mais sans la toucher. Puis elles vinrent à sa rencontre pour s’en saisir. Lentement, des deux mains, elle commença un lent va-et-vient. L’une d’entre elles partit en ...
    ... direction de mes bourses pour les caresser à leur tour.
    
    Son hésitation préalable était déjà loin. Pour ma part, le contact de ses doigts étrangers et délicats fut une caresse si douce et si érotique que tout mon corps en frémit.
    
    Son visage était à quelques centimètres à peine de mon sexe et je sentais son souffle sur mon gland. Qu’elle était belle, tout habillée, concentrée, presque en fascination devant mon sexe, à retarder ainsi le moment. Cet instant où sa bouche remplacerait ses mains. Elle posa ses lèvres sur mon bout, leva les yeux vers moi et, très lentement, m’engloutit dans sa bouche humide alors que, invisible, sa langue s’activait à explorer les moindres millimètres carrés de ma peau.
    
    Je ne suis pas sûr qu’une femme puisse imaginer comme cette sensation est magique et cette vision belle, surtout la première fois. Sentir cette douceur et cette agilité. Voir ce visage que tout le monde peut contempler dans la rue, en train de prendre votre chair intime d’homme entre ses lèvres, c’est un peu comme rentrer dans la vie cachée de cette personne. Une personne qui fait le don de ses lèvres et sa langue pour votre seul plaisir. Quel magnifique cadeau elle me fit là. Je me souviens encore du moindre détail.
    
    La lenteur fit place à plus de rapidité, plus de passion, comme si elle voulait m’aspirer tout entier. Comme si rien d’autre ne comptait que de me faire venir. Plusieurs fois, elle me prit au plus profond de sa gorge, plus que je ne l’eus cru possible. Mes mains ...
«12...91011...20»