1. Léna (1/2)


    Datte: 17/06/2018, Catégories: fh, jeunes, telnet, Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, init, nostalgie, inithf, Auteur: Filo, Source: Revebebe

    ... suite, bien entendu, mais je compris rapidement son jeu de provocations auquel je me mis à jouer moi aussi.
    
    — Chez toi ou chez moi ? lui demandai-je effrontément.
    
    Son expression se fit incroyablement dure. La jeune femme coquine et malicieuse avait disparu et j’avais devant moi le visage d’une femme en fureur ne se contrôlant qu’à grande peine.
    
    « Merde », me dis-je.
    
    — Jamais chez moi, me répondit-elle lentement.
    
    Je me devais de bien assimiler ce qui allait devenir cette seconde règle après celle, tacite, de relever tout défi que l’autre proposait.
    
    J’avoue ne pas avoir compris sa réaction, car je savais qu’elle était pour le moment à l’hôtel, donc pas « chez elle » à proprement parler. Néanmoins, si c’était si important pour elle, et ça semblait même être plus que cela, j’étais disposé à lui obéir. Je hochai la tête pour le lui signifier.
    
    Son visage se détendit et son sourire réapparut presque aussi rapidement qu’il était parti. Cette fille était visiblement un peu dérangée et, bien que j’aie toujours eu un faible pour les filles à problèmes, l’idée qu’il me fallait être prudent me traversa l’esprit, mais sans réellement s’attarder.
    
    — Alors ce sera chez toi et j’espère que t’habites pas loin, enchaîne-t-elle.
    — Alors ce sera chez moi et, pas de problème, j’habite pas loin.
    
    On se mit donc immédiatement en route avec la rue Vasselot pour destination. Cinq minutes à pied. Suffisamment pour oublier la réaction brutale de la belle Léna qui me caressait ...
    ... le dos du bout des ongles pendant que je la tenais par la taille. Ce corps chaud, qui allait bientôt m’être offert, se pressait contre ma hanche. Sa poitrine tendait le tissu et le décolleté pourtant peu profond me remuait au plus haut point, car j’allais bientôt découvrir ses mystères. Comble du bonheur, c’est moi qui la conduisais en la tenant ainsi vers notre destination.
    
    Elle finit par me dire :
    
    — Je trouve ça très excitant de ne pas savoir où tu m’amènes, mais savoir exactement… ce qu’on y fera.
    
    Les derniers mots furent prononcés lentement et distinctement. Sa bouche affichait un sourire tendancieux et ses yeux noirs pétillaient d’excitation.
    
    Rapidement, comme sur un nuage, nous finîmes par arriver au pied de mon immeuble.
    
    J’habitais un petit appart d’étudiant dans un vieil immeuble de Rennes et dont le rez-de-chaussée était occupé par un bar que je connaissais, fatalement, très bien. Le bâtiment était le genre d’endroit où rien n’est droit ni symétrique tellement les poutres ont joué au cours des siècles. Nous en passons la porte d’entrée.
    
    — T’habites quel étage ? me demande-t-elle.
    — Au deuxième.
    — OK.
    
    Et elle passa devant. Cette fois, c’était elle qui me dirigeait. Ou peut-être souhaitait-elle juste que je puisse jouir d’une vue imprenable sur ses fesses. De belles fesses qui provoquaient un lent mouvement de sa robe alors que ses jambes grimpaient une à une les marches vers mon appart que nous atteignîmes trop rapidement. Tant pis pour la vue, ...
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