Les chemins de l'amour (1) - Histoires de Sexe

Les chemins de l'amour (1)

... éloignés l’un de l’autre. On se parle au téléphone ou en visio tous les jours parfois pendant une heure et beaucoup plus les week-ends, mais mon bébé me manque. Quand j’ai vu cette offre de vacances tout compris dans un hôtel sur une plage de rêve, j’ai tout fait pour qu’on puisse se l’offrir et nous y voilà.

Nous finissions en silence notre petit-déjeuner de cette deuxième journée à l’hôtel. Jan semblait soucieux. Nous étions déjà en maillot de bain et nous nous sommes dirigés vers la plage. Le soleil tape si fort ici dans le sud de la méditerranée. Alors, on profite de la fraîcheur matinale pour bronzer et nager avant le déjeuner et une longue sieste ou sortie à l’ombre durant la fournaise de l’après-midi.

Jan nagea longtemps et est venu se sécher un peu et bronzer quand il s’est fatigué. Moi, je préfère bronzer et lire. Je me rafraîchis juste avant de rentrer à notre chambre et Jan m’accompagne souvent. Nous nous restons jamais fâchés longtemps l’un avec l’autre et on se retrouve vite à chahuter dans l’eau ensemble. On se chatouille, on essaye de faire couler l’autre... Je ne m’offusque pas quand Jan me sort un sein de mon bikini pour que j’arrête de le chatouiller. Et par représailles, je lui descends son short et me colle à lui par-derrière en marchant sur son short pour qu’il ne puisse pas le relever de sitôt. Mes mains le frôlent partout et je finis par saisir son sexe mi flasque et je le remonte au-dessus de l’eau pour le menacer de ne plus me dénuder en ...

... public.

On rigole et on décide de rentrer après s’être bien séchés (et bien sûr être décents avant de sortir de l’eau).

Le déjeuner était déjà servi. Nous avions faim, mais la fatigue s’emparait de nous. Nous ne comptions pas sortir cet après-midi alors nous remplissons plusieurs boîtes en plastique et en aluminium de tous les succulents mets et nous sommes remontés dans notre chambre pour une bonne douche et un repos mérité.

Dans notre chambre, on prend chacun une douche rapide et on allume la TV. Allongés sur le lit, nous grignotons quelques petits trucs pour apaiser la faim sans vouloir se lancer dans les plats principaux. C’est une première pour nous. Moi, je suis une gloutonne et mon physique le prouve et mon fils n’a pas un corps aussi ingrat que le mien, mais il a quelques kilos de trop. On a toujours mis un point d’honneur à manger à l’heure des repas complets et toujours assis à table. Donc c’est une première à tous les plans, mais ceux sont nos vacances, donc tout est permis.

La TV passait un de ces films allemands romantiques sur une mère célibataire qui tombe amoureuse et couche avec deux hommes en même temps. Je ne suivais pas trop et c’est Jan qui me sortit de ma rêverie :

— Tu étais sérieuse sur ton manque d’hommes ? Je sais que tu as tout sacrifié pour moi. Tu peux faire ce que tu veux maintenant. Tu n’as plus besoin de te sacrifier pour moi, et sacrifier ton bonheur.

— C’est quoi cette histoire ? Je n’ai pas sacrifié mon bonheur. Tu es mon bonheur ...