1. Geralt de Riv & Majora (1)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Aldénor Aube-Miroir, Source: Xstory

    ... dans ma bouche à son rythme. Je m’offrais sans broncher, déglutissant difficilement. Seul mon regard, joueur, ambitieux, revêche, le défiait. Il joua ainsi de longues minutes avant de décider de me pousser au sol, mon dos contre l’herbe. Position quelque peu inconfortable, mais toute douleur ne pouvait qu’être éclipsée par tant de désir.
    
    Il s’approchait, puissant, son sexe bouillonnant et dur comme l’ébène, menaçant, sur mon ventre, serrant mes seins de ses implacables mains torrides et brûlantes. Ses lèvres cherchaient encore les miennes. Je le sentais volontaire pour me rendre le plaisir que je lui avais offert, mais j’ondulais frénétiquement sous lui, l’invitant du creux de mes reins à me posséder sans attendre.
    
    Je sentais sa vigueur caresser implacablement mon sexe. J’étais déjà trempée ; la rivière qui nous observait en silence avait du souci à se faire ! Je lâchai un cri de plaisir quand je sentis son sexe s’enfoncer en moi. Conscient de sa nature imposante, il me laissa m’habituer à son diamètre, doucement lové dans mon vagin prêt à être aussi malmené qu’il le voudrait. Je reculai de quelques centimètres pour qu’il s’enfonce totalement ; je me sentis comme empalée par une torche brûlante de plaisir.
    
    Il écarta mes bras et saisit mes poignets. Le premier coup de reins m’arracha un gémissement de plaisir, le second laissa place à un cri de jouissance. Il était tellement massif, et pourtant sa pénétration était tendre ; ce mélange de sauvagerie et de retenue ...
    ... termina de m’enlever toute inhibition.
    
    Mon bassin s’activait à chaque passage pour qu’il n’hésite pas à me pénétrer totalement. Mes mains posées sur son torse, je ne pus résister à l’envie de saisir la chair de son dos lorsqu’il accéléra ses charges entre mes cuisses. Je griffais malgré moi ce corps de rêve en priant pour qu’il ne s’arrête jamais.
    
    Geralt abandonna toute douceur lorsqu’il me vit aussi réceptive à ses coups de reins ; il faut dire que mon regard laissait transparaître une offrande totale et consentie de mon être à ce demi-dieu.
    
    Je sentais qu’il prenait énormément de plaisir, semblant gonfler encore plus en moi. J’étais malmenée, mais bien trop extasiée par le plaisir pour m’inquiéter des douleurs de mon combat de la veille et de lui demander d’aller plus doucement. Il plaçait parfois sa main sur mon cou, serrant doucement son étreinte, me coupant le souffle, renforçant mon plaisir.
    
    Voyant que je tenais bon face à sa puissance, il se dégagea bientôt d’entre mes cuisses pour me retourner sans mal, telle une poupée de chiffon. Il tira mes fesses vers lui. Je m’offrais à lui là encore sans bouder mon plaisir.
    
    Il serra puissamment ses mains sur les frêles os de mon bassin, ancrant ses doigts dans ma chair, puis me prit d’un coup sec. Il s’enfonça aussi cruellement que l’une de ses lames dans le corps d’un monstre. Sur le coup, je criai de surprise. Au deuxième assaut, j’arrachai l’herbe sous mes doigts, le visage plaqué au sol. Sa main dans mes cheveux me ...