TGV pour Lyon
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
voyage,
train,
BDSM / Fétichisme
Oral
jouet,
Auteur: Antoine Leprince, Source: Revebebe
... lèvres. Je suis en elle, elle est sur moi et mes doigts s’aventurent dans son intimité. Je suis trempé de son bonheur, elle jouit dans un râle et m’inonde dans un spasme.
Je continue ma caresse pour l’entendre jouir encore. Le train nous appartient maintenant et nous filons à 300 km/h vers une communion de nos sexes en fusion.
— Prends-moi !
Je commence par prendre sa main, nous nous levons et traversons le premier wagon endormi. Le bout du compartiment, réservé aux voyages en groupes est heureusement libre.
Nous pénétrons ce local et nous choisissons la table pour nous ébattre en toute liberté. Elle dégrafe sa jupe qu’elle laisse choir à ses pieds. Je sacrifie deux boutons de son chemisier sur l’hôtel de la luxure et l’allonge sur la table du club 4.
— Viens, prends-moi ! Je veux te sentir au fond de moi. Je veux te sentir jouir en moi et t’effondrer sur moi, ivre de jouissance.
Je libère enfin mon sexe, emprisonné depuis trop longtemps dans son caleçon de coton. Je suis trempé et vaillant. Elle le prend en main, le caresse avec douceur et fermeté puis me guide jusqu’à ses lèvres grandes ouvertes. Je caresse son sexe du bout de mon gland. Les mouvements aléatoires du train m’emportent vers son clitoris, puis ses lèvres, son clito de nouveau. Je reprends en main mon sexe et caresse son bouton. Son plaisir est égal au mien. Le frein ne freine pas mon plaisir. Il le décuple et je sens monter un agréable fourmillement.
De ses jambes serrées derrière moi ...
... elle me force à la pénétrer. Je résiste pour mieux prolonger l’instant. Elle dirige mon sexe vers ses lèvres et son ventre m’aspire en une agréable supplique. Elle ondule, mon gland planté en elle. Je contemple mon sexe, à demi prisonnier de son ventre et elle me supplie en contractant son vagin en rythme. Je la possède d’une traite.
Nous poussons le même cri animal et nos bassins s’entrechoquent. Elle s’accroche à la table, ses jambes toujours serrées derrière moi. Le lent mouvement de va-et-vient va bientôt devenir incontrôlable et nous allons entrer en résonance avec le train dans un grand élan. Elle ponctue mes assauts de petits cris, je l’encourage en y répondant en canon.
Mes mains reprennent possession de ses seins. Libérés de leurs corsage, ils s’offrent à moi et je les pétris de bon cœur. Rassurée par cette emprise de mes mains sur son corps, les siennes ont lâché la table et elle caresse maintenant frénétiquement son clitoris. Je sens son ventre palpiter, son souffle s’accélérer, ses jambes trembler derrière moi puis elle perd pied en prenant le sien. De son ventre s’échappe une douce fontaine.
Elle n’est pas rassasiée pour autant. Je sens monter mon orgasme, mes couilles se contractent, ma queue se tend en un dernier effort et j’éjacule longuement dans son antre tandis qu’elle se donne la mort de ses deux mains. Ainsi comblée, elle est terrassée par un nouvel orgasme.
Nous nous effondrons sur les fauteuils, elle se blottit contre moi et m’embrasse avec ...