-
TGV pour Lyon
Datte: 13/06/2018, Catégories: fh, inconnu, voyage, train, BDSM / Fétichisme Oral jouet, Auteur: Antoine Leprince, Source: Revebebe
... se hisse sur la pointe des pieds pour loger sa valise dans le logement prévu en hauteur. Sa jupe droite accompagne son mouvement et découvre sa peau fine. Ce sont bien des bas et la couture se prolonge d’une jarretelle… Elle s’assoit maintenant, sa jupe courte et droite ne convient pas à la pudeur requise dans cet endroit. Je ne me lasse pas d’admirer cet hymne à l’amour. Encore quelques minutes et le train nous berce. Je lis la même page du roman policier depuis 20 minutes lorsqu’elle me susurre : — Voudriez-vous vous faire pardonner votre regard impudique en descendant ma valise. Je voudrais ranger mon dossier. Assez de travail pour aujourd’hui. Je m’exécute et dépose la valise devant elle. Elle reste assise pour ouvrir sa valise et je ne peux que contempler son intimité vestimentaire et vibratoire. Au lieu de ranger son dossier, elle sort sa trousse de maquillage, son bâton de rouge et s’en enduit les lèvres. Elle en sort un second rouge, l’ouvre et en un quart de tour le fait vibrer et m’annonce droit dans les yeux : — Celui-là, c’est pour le cas où vous seriez trop timide pour me faire des avances. C’est le grand jeu. La femme libérée. Prédatrice. C’est pour moi l’heure de décider. Vite. Mon sang n’irrigue plus mon cerveau, alors c’est une autre partie de mon anatomie qui décide. Je prends l’objet du désir en main, l’éteint et me penche vers elle pour précipiter le début d’incendie qui couve dans mon caleçon Nos lèvres se cherchent et ...
... s’agacent. Nos souffles s’effleurent et l’irréparable se produit. Nos bouches fusionnent dans un grand élan. Nos langues dansent et ma main prend possession de ses cheveux et de son cou. Elle me repousse et d’un bond se transporte sur le siège d’à côté. Je prends une place plus confortable, retrouve le contact de ses lèvres et découvre le chemin de ses seins. Prisonniers de son chemisier, ils pointent leur désir vers moi et je caresse à travers le fin coton leur galbe ferme. Elle prend une immense respiration en même temps qu’elle se cambre. Son parfum a soudain envahi le compartiment. Je glisse une main entre ses jambes tandis qu’elle prend possession de l’envahissant pic qui se forme entre mes jambes. Que dis-je c’est un pic, c’est un cap, c’est une péninsule ! Elle remonte sa jupe d’une habile torsion du bassin et je peux à loisir découvrir une douce dentelle déjà humide de sa prochaine jouissance. Je caresse le délicat ouvrage. Sa culotte est assortie au porte-jarretelles, blanche et raffinée. La nuit est tombée, le wagon est plongé dans la pénombre. Je me glisse sous la table et prend place entre ses jambes. Je sens son odeur enivrante, je la sens palpiter, ouverte, humide de désir. Je hume sa liqueur à travers la dentelle d’où perle sa jouissance. Elle caresse mes cheveux en rythme et ondule en gémissant. Je glisse mon index entre le fin tissu et le repousse pour mieux la goûter. Je la pénètre maintenant du bout de ma langue. Ma bouche l’embrasse à pleines ...