1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... surtout quand on me regarde. Tous ces gens autour de moi, le savent-ils ?
    
    Nous nous attablons. Peu de temps après, je demande en catimini à Andreas :
    
    — C’est une impression, ou bien on me zieute ?
    — On te zieute, c’est certain !
    — Ils n’ont jamais vu une femme ou quoi ?
    — Pas une aussi belle que toi !
    — Merci, flatteur !
    — La stricte vérité !
    
    Je constate quelques regards appuyés, mais comme je suis la chasse gardée d’Andreas, il ne se passe rien. Je pense que les hommes doivent avoir un code secret pour clamer aux autres mâles : « pas touche, elle est à moi ».
    
    Nous sortons du self, nous prenons l’air, ça fait du bien. Une petite brise fraîche me fait éternuer. Alors que nous dépassons un groupe de camionneurs, certains me sifflent, d’autres s’esclaffent. Me montrant du doigt, l’un d’eux explique en riant :
    
    — Es fließt auf ihren Oberschenkel !
    — Il dit quoi ?
    
    Andreas s’arrête, se recule puis me scrute par-derrière :
    
    — En effet, ça coule sur ta cuisse…
    — QUOI !?
    
    C’est alors qu’Andreas a une réaction à laquelle je ne m’attendais pas : il soulève carrément ma jupe, me montrant cul nu et sans doute maculé à tous ces hommes en émoi ! Une tempête de rires et d’acclamations nous accompagne tandis que nous retournons prestement au camion. Tandis que nous nous éloignons, Andreas s’offre même le luxe de me mettre une claque sur les fesses ! Ce qui augmente plus encore le brouhaha dans mon dos ! Arrivés au camion, nous repartons aussitôt.
    
    Alors que ...
    ... nous nous engageons sur l’autoroute, ayant repris mes esprits, je râle :
    
    — Mais qu’est-ce qui t’a pris de faire ça ?
    — Oh, je les connais de vue, il n’y avait rien à craindre !
    — Parce qu’en plus, tu les connais ?
    — Tu sais très bien que les hommes aiment bien montrer leur bonne fortune…
    — Mais quand même !
    
    Il m’attire à lui et m’embrasse prestement. Cet homme est fou ! Le coup du cul nu et maintenant le bisou alors que nous sommes sur la route !
    
    Nous avons dépassé Hambourg depuis un certain temps et nous approchons enfin de notre destination finale. Andreas m’explique :
    
    — Je préfère que tu m’attendes dans ma voiture pendant que je m’occupe du reste. Je ne devrais pas être long, dix minutes maximum.
    — OK, on va faire comme ça. Si tu me conduis à ta voiture…
    — C’était mon intention.
    
    En effet, il a fait vite. Entre-temps, j’ai dialogué un peu avec Charles pour lui donner quelques nouvelles. Je lui ai raconté le coup du cul nu, ça l’a beaucoup amusé ! Ah ces hommes ! C’est à présent dans sa grosse voiture (je sais, ça fait lieu commun) que nous nous dirigeons chez lui. La porte de son garage s’ouvre automatiquement, et nous débarquons dans son garage. Vu l’heure tardive, il n’y avait personne dehors. À la louche, il doit être une heure du matin, je n’ai pas fait attention.
    
    Il me propose de boire quelque chose, j’accepte. Puis enlaçant ma taille, il me fait faire le tour du propriétaire, tour qui s’achève dans la chambre d’amis. Car si j’ai bien compris, ...
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