1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ça donne un air de fête, de carnaval ! Andreas se gare dans un coin tranquille. Il a sûrement une petite fantaisie dans la tête. Je suis fixée très vite !
    
    En effet, Andreas me fait asseoir sur lui, ayant bien pris soin d’introduire sa belle tige de chair bien droite en moi. Pendant ce temps, je fais semblant de conduire le semi-remorque. Ces hommes, quels grands enfants quand même !
    
    Par amusement, avec ma bouche, je fais le bruit du moteur, ce qui fait pouffer de rire mon siège humain. Il en profite pour glisser ses doigts entre mes cuisses, direction mon clitoris qu’il commence à taquiner comme j’aime qu’il le soit. Avant de me laisser aller, je saisis mon smartphone pour faire quelques photos. Andreas proteste un peu :
    
    — Tu es obligée ?
    — C’est le prix à payer, n’oublie pas… Et j’estime que ce n’est pas cher…
    — C’est vrai… ce n’est vraiment pas cher. Ça me fait même des souvenirs…
    — Tu vois… Une fois les photos finies, j’aurai l’esprit libre et le reste aussi !
    
    Au bisou qu’il me fait dans le cou, je crois qu’Andreas a compris. Alors il abuse sans vergogne de ma petite personne, capturant un sein qu’il malaxe goulûment, agaçant mon clitoris de ses doigts agiles. J’accompagne le mouvement en me trémoussant sans complexe sur le pieu de chair qui est planté en moi. Je penche la tête, je m’accroche fermement au volant tandis que je subis avec joie toutes ces choses qui font monter mon plaisir. J’aime quand mes seins sont pétris, mes chairs brassées ! J’aime ...
    ... quand mon clitoris est en feu, lorsqu’un frôlement est presque intenable, mais qu’il est en même temps une source inouïe de plaisir ! J’aime quand un mandrin chaud me pistonne, quand il cherche à m’envahir !
    
    Je me cambre, j’explose, je crie mon plaisir ! J’entends alors un grognement rauque, je sens quelque chose qui jaillit en moi, qui m’inonde. Ça me met en joie, accentuant le bien-être dans lequel je baigne actuellement. Tant pis si j’en ai partout, si je suis souillée, mais j’adore cette preuve masculine sur moi, en moi ! J’adore être remplie, à ras bord si possible !
    
    Puis après un bref repos, il faut bien que nous nous séparions. Alors que je m’empare d’un essuie-tout, il bloque mon geste :
    
    — Ne t’essuie pas, reste comme ça !
    — Décidément, c’est ton fantasme du jour !
    — J’aime l’idée que tu sois pleine de mon sperme tandis que les autres l’ignorent ou parfois le devinent !
    — OK, mais je vais quand même essuyer le plus gros, sinon je vais en avoir plein la jupe et ça fera une grosse tache un peu trop visible !
    
    Je m’essuie un peu comme convenu puis nous sortons de la cabine pour aller manger. J’en profite pour envoyer un SMS à mon pauvre mari bien loin de moi. Bien sûr, j’ai remis ma jupe et aussi un gilet noir, il commence à faire un peu frais. Il s’agit d’un self routier, je ne connais pas ce genre d’endroit. À prime vue, ce n’est pas cher et il y a de la quantité. Quant à la qualité, elle semble secondaire. Être encore pleine de sperme me donne des frissons, ...
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