1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... chasser :
    
    — Tu fais quoi, là ?
    — Je surveille…
    — Tu surveilles quoi ? Si quelqu’un vient ou mon pipi ?
    — Les deux !
    — Petit vicieux !
    
    J’ai bien compris le message ; s’il n’y a que ça pour lui faire plaisir ! C’est avec une grande attention qu’il me regarde uriner, qu’il observe mon jet chaud sortir d’entre mes lèvres. Il n’en profite pas très longtemps, car ce fut bref. J’en viens presque à le regretter, car j’aime beaucoup son regard sur moi ! Alors que je fais le geste de m’essuyer, il bloque ma main pour s’emparer de mon mouchoir en papier. C’est avec une grande délicatesse qu’il m’essuie. Puis il dépose un gros bisou sur mes lèvres intimes. Finalement, ça ne me déplaît pas…
    
    Il part se poster un peu plus loin pour uriner à son tour. Voulant lui donner la monnaie de sa pièce, je le suis. Il demande :
    
    — Tu fais quoi ?
    — Je te regarde faire pipi. Chacun son tour !
    — Comme tu veux !
    
    Un long jet sort de sa queue, scintillant sous le faible éclairage. Un peu de vapeur aussi. Ça me fait tout drôle. C’est dans un grand soupir que la dernière goutte sort, Andreas manifestant bruyamment sa satisfaction. Nonchalamment, il secoue son engin, puis tournant la tête vers moi, il questionne :
    
    — Je parie que tu veux essuyer ? Prends le mouchoir !
    — Il est déjà tout humide !
    — Il doit bien rester un petit coin de sec…
    
    Je néglige le bout de papier froissé et humide. Je m’agenouille et je le prends en bouche, sans aucun chichi. Je lève les yeux et je croise son ...
    ... regard assez interloqué. Après quelques instants, je me relève tout en lui disant négligemment :
    
    — Voilà, c’est tout propre !
    — Eh bé ! Quand tu y vas, tu y vas !
    
    Je me contente de sourire, tandis que je me dirige vers la cabine. Peu après, nous repartons. Après quelques kilomètres, Andreas se décide :
    
    — En quel honneur ?
    — J’en avais envie, c’est tout.
    — Ah… En tout cas, ce fut une heureuse surprise !
    — Tu m’en vois ravie !
    
    Il y eut quelques petites agaceries durant le voyage, histoire de faire passer le temps. Nous avons dépassé la frontière française. Bientôt, je reverrai mon chouchou. Même si j’ai passé un bon week-end, un très bon week-end, il m’a manqué, mon homme à moi !
    
    Ah ça y est, on est presque arrivé ! Cette partie de la zone industrielle est déserte, je m’en doutais bien, il n’est même pas cinq heures du matin ! Nous avons croisé quelques autres camions, mais pas beaucoup. Mon mari est déjà là, il sort de sa voiture dès qu’il nous voit arriver. Impatiente, j’ouvre ma portière, et cul nu, je me précipite sur lui pour l’embrasser. Visiblement, il apprécie mon retour. Après un long baiser, nos lèvres se séparent.
    
    — Merci beaucoup, mon chouchou, pour ce week-end…
    — Visiblement, tu en as bien profité ! Tant mieux !
    
    Andreas s’approche de nous :
    
    — Heureuse d’être de retour ?
    — Oui, mais triste aussi que ça soit fini !
    
    Possessivement, mon mari met ses mains sur mes fesses dénudées :
    
    — Il y aura d’autres fois. Mais en attendant, je ...