1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Oui… tu étais déchaînée ! Mais bon, c’est moi qui avais introduit les loups dans la bergerie…
    — Tu… tu regrettes ?
    — Non ! Grâce à toi, nous avons tous vécu une soirée d’anthologie ! Une soirée comme il y en a rarement, peut-être la seule pour certains d’entre nous…
    — Dois-je comprendre que tu veux recommencer, Andreas ?
    — Je ne dirai pas non… mais pas tout de suite, ça casserait les choses, je pense… Quoique…
    
    Amusée par ses hésitations, je ris :
    
    — Faudrait savoir ! C’est oui ou c’est non ?
    — Tu es une sacrée femme dans ton genre ! Je suis bien content de t’avoir trouvée ! Et ça me désole encore plus d’être mal marié ! Ah, la vie est vraiment mal foutue !
    
    Pour couper court, je l’embrasse. Peu après, nous faisons follement l’amour puis nous nous endormons l’un contre l’autre, laissant les choses aller leur cours.
    
    Un peu avant dix-sept heures, nous sommes dans le camion, en direction de la France. Comme de coutume, je n’ai gardé que mon top afin d’être quand même présentable pour les autres personnes que nous croiserions en route, mais tout le bas est livré au regard avide d’Andreas, sans parler de ses mains baladeuses. Et il ne se prive pas de baguenauder sur mon corps dévoilé ! Et bien sûr, mon mari en profite aussi à sa façon, on ne change pas les bonnes habitudes, même si elles peuvent paraître étranges à beaucoup de personnes !
    
    Comme de coutume, je lui offre quelques sucettes, et je constate avec plaisir qu’il réagit toujours aussi prestement à ma ...
    ... bouche câline. Lors d’une pause, c’est sur la banquette que j’ai dû subir les derniers outrages avant qu’il ne me rende tout à l’heure à mon mari ! Andreas y a été de bon cœur et je ne déteste pas qu’on me prouve de temps à autre à quel point on me désire !
    
    — Tu as des cernes sous les yeux, Ariane !
    — À qui la faute, hein ? Je me fais baiser par tous les côtés et par tous les trous depuis vendredi ! Je ne suis qu’une faible femme, moi ! Pas Wonder Woman !
    
    Il se contente de rigoler ! Aucune pitié ! Les kilomètres défilent, répétitifs. Je suis à présent assez fatiguée, je m’endors sur la banquette arrière. Je sombre dans un profond sommeil. Soudain, quelque chose me réveille, le camion est arrêté, j’ouvre un œil. Andreas est penché sur moi :
    
    — Ah, tu es réveillée ?
    — On est où ?
    — On vient d’arriver en Belgique, j’ai un petit truc à faire dehors…
    — En Belgique ? Tu as conduit d’une seule traite ?
    — Non, je me suis arrêté deux fois, mais tu dormais profondément.
    
    Je m’assieds sur le rebord, me frottant un peu les yeux :
    
    — Je crois que je vais t’accompagner…
    — C’est une simple aire avec que des arbres. Je ne me risquerais pas trop aux toilettes, elles sont souvent dans un drôle d’état, tu sais…
    — Va pour Dame Nature !
    
    Je m’empare d’un mouchoir en papier avant de sortir. Il n’y a personne, je me décide de rester juste à côté du poids-lourd. Il fait frisquet, mon petit cul toujours dénudé a un peu froid. Je m’accroupis, Andreas ne bouge pas, j’essaye de le ...