Pascal et Léa - Histoires de Sexe

Pascal et Léa

... la nôtre, répondirent-ils ensemble, avant de porter leur lèvres vers l’exquis breuvage.

Les quelques gorgées avalées en silence furent vite oubliées lorsque Léa posa sa coupe, se leva et annonça :

— Je ne sais pas vous, mais moi, le champagne, cela me donne chaud !

Et de déboutonner sa veste, de l’enlever en laissant voir que son corset n’était autre qu’une courte guêpière de satin rouge, soutenant ses jolis seins sans en voiler les jolis tétons bruns qui pointaient de manière presque indécente, se terminant juste sous le nombril orné d’une boucle fantaisie qui y pendait et parfaitement encadré par le départ des jarretelles qui venaient disparaître sous sa jupe.

— Hum ! tu peux en reprendre encore ! s’amusa Sylvia d’un air coquin.

La regardant droit dans les yeux comme si elle la défiait, Léa but une nouvelle gorgée et une fois sa coupe reposée, passa ses mains dans son dos pour faire coulisser la fermeture de sa jupe. Cette dernière se retrouva enroulée sur ses chevilles et Sylvia suivit alors les jarretelles jusqu’à leur attache avant de remonter vers le petit triangle assorti qui, bien plaqué sur le sexe de Léa, laissait deviner les boursouflures des lèvres de son sexe qu’elle imaginait déjà sous sa langue.

— Comme d’habitude, tu es charmante, ma chère Léa, s’exclama Sylvia. Tu as bien de la chance, Pascal, d’avoir cette superbe créature dans ton lit toutes les nuits, j’en serais presque jalouse.

Pascal ne pipa mot, affairé qu’il était à promener son ...

... regard du strip-tease de son épouse aux cuisses de Sylvia qui avaient tendance à prendre un écart de plus en plus excitant.

Léa se déplaça lascivement à travers le salon, laissant admirer son corps, offrant ses fesses dévêtues par son petit string, tirant sur les liens de celui-ci pour bien lui faire épouser les formes de sa chatte qu’elle sentait devenir de plus en plus chaude. Passant derrière le fauteuil de Sylvia, elle se pencha vers elle et après l’avoir embrassée délicatement sur les lèvres, y promena doucement sa langue avant de remonter vers son oreille et de lui chuchoter :

— Fais-nous vite voir ta corbeille de fruits !

Elle prit les bretelles de sa fine robe et les descendit sur ses épaules, dévoilant le haut de ses seins sur lesquels elle déposa un léger baiser. Descendant un peu plus, les mamelons pointant de désir apparurent et subirent le même traitement. La robe descendue sur le ventre, Sylvia exhibait fièrement son plus bel argument aux regards envieux et excités de Pascal.

— Dis moi, il n’a pas chaud ton mari ? Glissa doucement Sylvia à l’attention de Léa.

Celle ci délaissa sa proie pour s’approcher de son mari sous les yeux curieux de Sylvia. Elle lui prit la main, le fit lever et entreprit de lui ôter sa veste et son tee-shirt.

— Hum, pas mal ! s’exclama Sylvia, tout en matant ce déshabillage avec beaucoup d’attention.

Léa lui demanda d’enlever ses chaussures et, rejoignant Sylvia en s’asseyant sur l’accoudoir du fauteuil, s’adressa à ...