1. Fascination


    Datte: 09/06/2018, Catégories: fh, inconnu, piscine, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral extraconj, Auteur: Le Peintre, Source: Revebebe

    ... faire.
    
    Je vois bien qu’elle est crispée. J’essaye alors de détendre un peu l’atmosphère en parlant d’une comédie que j’ai vue dernièrement au cinéma. Elle l’a vue aussi. Et entrant dans la conversation, se détend petit à petit. Au bout d’un quart d’heure, elle ne réalise même plus que je suis en train de la croquer. Elle rit même de certaines de mes remarques.
    
    — Tu ne pourrais pas déboutonner un peu ton chemisier pour que je voie mieux ta gorge et ton collier ?
    
    Sans réfléchir, elle défait le premier bouton et continue à m’expliquer la dernière bêtise de son fils.
    
    De mon côté la naissance de ses seins ne me laisse pas de marbre. Je ne vois qu’eux. Il faut que je voie plus, ce n’est pas possible d’en rester là.
    
    Et sur un ton le plus naturel possible je lui dis :
    
    — Détache encore le suivant. Ce sera plus facile pour moi.
    
    Là, elle arrête de parler et me fixe. Avant de me dire :
    
    — Non Patrick, si j’en défais encore un, tu verras la moitié de mon soutien-gorge.
    — Et alors ? lui dis-je. Si on allait à la piscine je te verrais en maillot. Où est le problème ?
    
    Ça la fait sourire et elle finit par céder. Et effectivement, ses seins se montrent à moi dans leur joli habit en dentelle.
    
    Voyant mon regard porter sur ses deux seins, elle devient toute rouge et tente de rattacher son bouton. Je me lève alors d’un coup pour lui maintenir la main.
    
    — Ne fais pas ça. Tu es superbe. Ne sois pas gênée.
    
    Sa main redescend sur sa jambe.
    
    — Est-ce bien nécessaire ...
    ... ?
    — Oh oui je t’assure, ça m’inspire de te voir comme ça !
    
    Elle se met à rire de cette remarque et me dit :
    
    — Et c’est un portrait que tu dois peindre, pas un nu.
    — Oui je sais. Dommage.
    
    Et au lieu de s’offusquer elle rigole.
    
    On est dans la bonne voie, me dis-je.
    
    Je continue à peindre dix minutes tout en continuant notre conversation.
    
    — Voilà j’ai fini.
    
    Elle se lève d’un bond et veut rattacher son chemisier.
    
    — Reste ainsi, s’il te plaît, tu es tellement jolie.
    
    Et elle le fait. Elle vient vers moi, son soutien-gorge sortant à moitié de son chemisier.
    
    — Tu es vraiment doué. On dirait presque une photo. Mais tu y es allé fort sur ma poitrine.
    — Mais non c’est comme ça que je la perçois cachée dans son fourreau.
    — Elle me semble quand même moins grosse, non ?
    — À première vue non. Mais je ne demande qu’à confirmer ! dis-je en rigolant.
    
    Et là, j’ai la surprise de ma vie. À mon grand étonnement, elle défait complètement son chemisier avant de me dire :
    
    — Alors ils sont vraiment si gros ?
    
    Là c’est moi qui deviens rouge et qui balbutie :
    
    — Euhhh non, c’est vrai. Et j’avais raison tout à l’heure, ils sont superbes. Tu ne dois surtout pas être complexée par eux.
    
    Reprenant le dessus, je m’approche d’elle et tente de l’embrasser.
    
    Déception, elle me repousse et me dit :
    
    — Patrick, je suis mariée. Il ne faut pas. Je n’aurais jamais dû t’écouter. Excuse-moi de m’être dévêtue comme ça.
    — Ne t’excuse pas.
    — Si parce que maintenant tu ...
«1...345...13»