1. Au Balcon


    Datte: 08/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... sur la chaussée mal entretenue mais surtout les conversations des passants et les roulettes des valises des gars qui se pressaient vers la gare proche.
    
    Soudain j’ai pris conscience que cette fille qui téléphonait à grands gestes de conviction de dénégation envers son interlocuteur, je ne l’entendais pas.
    
    J’eus beau prêter l’oreille, non rien ne venait lors que j’étais à peine à quelques mètres du balcon d’en face.
    
    La fille était en transe et elle a posé l’iPhone pour poursuivre sa masturbation personnelle frénétiquement à deux mains au creux du slip blanc.
    
    Alors je me suis levé pour apparaître dans l’encadrement et j’ai dit « bonjour »
    
    Sur qu’à onze heure du soir, c’était incongru. Bonsoir eût été mieux approprié.
    
    La fille a ôté ses deux mains de la culotte dans laquelle celles-ci étaient affairées et a empoigné la rampe de fer forgé du balcon, se dressant sur la pointe des pieds, cambrée de fesses et seins pointés en avant.
    
    Elle me matait et moi je la matais, moi tout nu avec mon organe dressé et elle toute nue avec juste son slip blanc.
    
    Elle a juste dit, viens, je te prépare un jus de pamplemousse rose avec de l’eau qui pique, tu verras tu vas apprécier.
    
    La porte de l’immeuble d’en face était ouverte. J’avais repassé mon pantalon mais dans ma hâte avais fait l’impasse sur les chaussures les chaussettes. L’escalier était obscur et la minuterie introuvable. J’ai monté quatre à quatre les trois étages à tâtons de la rampe. La porte de l’appart ...
    ... était ouverte et la seule lumière venait des fenêtres ouvertes sur la ville.
    
    J’entendais bruits d’eau et de douche.
    
    Elle a dit pousse la porte et clos la clenche et viens me retrouver.
    
    J’ai tombé teeshirt jean et boxer et suis entré contre elle derrière le rideau de plastique mouillé.
    
    Elle était chaude d’eau et de savons et m’a entrepris en grand nettoyage à se couler contre moi mains actives sur ma bite en aubade de bon accueil.
    
    Avec son flacon détergent à bec perroquet elle aspergeait tout mon corps. On était dans le noir et j’ignorais tout d’elle, de son minois. Néanmoins mes mains avaient parcouru ses épaules son cou son poitrail. Elle était à mon goût dure de peau dure de muscles de fille sportive dure de seins petits et larges comme de gamine avec téton minuscule dressé.
    
    Ma main à sa fesse empaumait du solide et j’en rebandais tout heureux d’avoir chaussure à mon pied.
    
    Elle n’était pas en reste et inondait mon bitos de son produit moussant glissant, et mes fesses aussi.
    
    Elle a posé le perroquet sur le carrelage et, se relevant, m’a saisi pour me tirer à elle et se frotter de ventre d’abdomen de thorax. C’était doux c’était tendre c’était foutrement sexe...
    
    Surtout quand, par derrière elle a profité des substances qui ensavonnaient ma craque pour m’enfiler son grand doigt à fond de rectum, sans crier gare.
    
    Viol, dirait-on maintenant... Mais j’étais diablement consentant.
    
    Mon baiser gluant sous les eaux en cataracte et ses cheveux trempés et ...