1. Descente au Paradis (2)


    Datte: 07/06/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory

    ... et engrosser par un débris pareil lui provoque une grimace de dégoût.
    
    D’ici quelques jours, tout irait mieux : peut-être même que tout ce qu’elle a vécu avec le phallus en bois n’est que le fruit de son imagination, uniquement préoccupée par des besoins animaux.
    
    Alors qu’elle se savonne, Suzanne grimace de nouveau : non. La boîte dans son salon n’y est pas arrivée toute seule ; et c’est justement ça son deuxième problème : malgré tout son recul, elle a du mal à analyser la situation avec toute la rationalité dont elle dispose d’habitude. Suzanne ne peut pas s’empêcher de glisser sa main sur sa croix : elle n’est pourtant pas superstitieuse pour deux sous. La belle quadragénaire souffle : elle se détend et profite de son bain pour se relaxer. Son corps se détend, et ses pensées suivent.
    
    Non, ce n’est pas possible : quelque chose m’échappe. Il existe nécessairement une explication logique et rationnelle à toute cette histoire. Si la... « voix », dans ma tête, n’est que le fruit de mon imagination, seule la boîte reste problématique. Elle ne s’est pas téléportée toute seule...
    
    Mais pendant ce temps, Marcel ne reste pas sans rien faire : ne voyant pas la belle revenir, il se doute que Suzanne s’est fait couler son bain, et sait qu’il dispose d’un peu de temps. Le vieillard n’est pas dupe : il sait parfaitement que Suzanne ne lui a pas demandé de rester pour lui offrir ses cuisses, il la voit assez grimacer comme ça lorsque son regard tombe sur son entrejambe. Alors ...
    ... pourquoi lui a-t-elle demandé de rester ? Ce n’est peut-être pas des loups qu’elle a peur, en fin de compte. Pourtant, il espionne assez sa maison pour savoir que personne ne rôde autour : alors quoi ? La petite a peur de se retrouver seule ? Quelque chose la tracasse, en tout cas, et lui compte bien en profiter ; et profiter d’elle, dès qu’il en aura l’occasion. Mais bien que son sexe devienne dur comme de la pierre à cette idée, il sait qu’il doit aller étape par étape : la laisser prendre confiance, pour mieux tirer son épingle du jeu, et mieux la tirer.
    
    Doucement, sans faire de bruit, il se glisse de l’autre côté de la maison, jusqu’à apercevoir une chambre : c’est celle de Suzanne. Marcel a un rictus : à pas de loup, il s’y rend. En face du lit : l’armoire, qu’il ouvre de haut en bas. Enfin ! Ce qu’il cherche ! Le tiroir de sous-vêtement. Dire qu’il est plein à craquer serait mentir : quelques culottes de sport, quelques culottes en dentelle, même pas un string ! Maintenant c’est pour sûr : la petite ne doit pas s’envoyer en l’air tous les deux jours ; d’ailleurs, le con tout serré dans lequel il a glissé un doigt il n’y a pas si longtemps en témoigne. Mais ici, il aurait du mal à la faire boire, et encore moins de profiter de son corps ; de toute façon, rien ne serait plus jouissif de lui défoncer le con alors qu’elle se laisse faire : maintenant qu’il a vu la marchandise, il veut jouer avec, et finira bien par trouver un moyen d’y parvenir.
    
    Il attrape une petite ...
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