1. Julie au Golgotha


    Datte: 05/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... bonne cause : son évêque l’a dispensé de chasteté, pour l’occasion. Bientôt, les épidermes des condamnées sont recouverts de plus de sperme chaud que du sang de leur flagellation. La partouze dure plusieurs heures. Il en vient toujours d’autres, prévenus par les réseaux sociaux. Même les gendarmes, d’abord appelés pour faire cesser le scandale, s’y mettent aussi.
    
    Puis il est temps de clouer les condamnées. C’est le moment suprême, celui de la douleur absolue. Julie tient à ce que ce soit sa fille Marion qui tient le marteau. La centurionne s’enquiert du poids des condamnée, afin de choisir la taille de clous, qui seront de toute manière très gros. Puis elle se branle et jouit d’un orgasme sadique au moment où les pointes transpercent les poignets blancs de Julie. Il en vient un filet de sang. À chaque coup de marteau, les nerfs stimulés par un frottement direct des énormes clous de fer provoquent des douleurs fulgurantes. Ensuite, les pieds sont fixés au stripes. Ils le sont sur les côtés, afin de forcer Julie à garder les cuisses écartées, pour que sa vulve soit bien visible et que sa pudeur soit bafouée de la manière la plus complète. Marion est invitée à finir de clouer sa propre mère avant de l’être à son tour, ainsi que Leila. Les trois femmes ne peuvent réprimer des hurlements de douleur. Surtout Julie qui, mal fixée dans un premier temps, doit subir un nouveau transpercement de ses pieds afin d’être arrimée sa croix d’une manière suffisamment solide pour supporter ...
    ... son poids. Pour couvrir les cris, les fidèles entonnent un chant religieux, les mains jointes, accompagnés par la guitare du prêtre. On chante tout en se masturbant, tant la scène excite tout le monde. Même les gendarmes.
    
    Ensuite, les croix sont dressées. Il faut un réseau complexe de cordages pour le faire sans les renverser, et de nombreux assistants sont mis à contribution. Des trous dans le sol ont été préparés à l’avance afin d’y planter les croix, profondément, pour en assurer la verticalité. Les vibrations au cours de la manœuvre participent au supplice, en secouant les clous autour des plaies.
    
    Julie est rayonnante. Par son corps que la croix martyrise et sublime en même temps, elle fascine la foule à chaque heure plus nombreuse autour d’elle et se ses compagnes de supplice. Sa féminité triomphe, altière dans la souffrance et la nudité. Elle règne sur l’assemblée. On s’agenouille devant sa croix, chacun à son tour, les genoux dans la boue, et on baise dévotement les petits pieds sanglants qui se trouvent à hauteur de bouche. Tout cela pour demander humblement à la sainte, qui une promotion professionnelle, qui de gagner au Loto, qui une verge de trente centimètres et plus, qui un physique de top-model ou des seins à triompher sur la plage, qui de trouver enfin l’âme sœur et l’amour pour toute une vie, qui un accident mortel pour une personne que l’on hait. À raison d’un seul vœu par personne, toutes et tous seront exaucés dans la semaine qui suit, car tel est le ...
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