1. Julie au Golgotha


    Datte: 05/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... besoin. La petite culotte, en dernier, disparaît en fumée. Julie n’a été autorisée à garder sur elle que son alliance et la petite croix dorée de son baptême, qu’elle porte autour du cou. Le prêtre pose la couronne d’épines sur sa tête. Voici Julie reine de ce jour en sa féminité. Les aiguilles pénètrent dans le cuir chevelu. Quelques gouttes de sang roulent sur les joues, se mêlant aux larmes. Julie pleure de joie. Son rêve se réalise enfin, après tant d’années d’attente. Elle se met à genoux devant l’autel, pour entrer en prière, imitant Jésus sur le mont des Oliviers. Sa croupe, relevée, provoque l’admiration des fidèles. Déjà, les hommes bandent et les femmes mouillent. Pierre, dans sa tenue sacerdotale impeccable avec l’étole de couleur rouge, lui demande :
    
    — Êtes-vous vraiment sûre de vouloir cette folie, ma chère Julie ? Certes, vous avez signé une demande écrite pour être crucifiée, mais est encore temps de renoncer, vous savez. Ensuite, ce sera trop tard pour reculer. De plus, je perds une maman catéchiste particulièrement compétente.
    
    — Oui, mon Père. Je veux aller jusqu’au bout.
    
    — Alors, qu’il en soit fait selon votre choix.
    
    Puis Julie fait connaissance avec sa croix, posée à plat sur le sol. Le bois est magnifique : du chêne massif, verni, parfaitement poncé. Pierre ne s’est pas moqué d’elle. Elle s’agenouille devant l’objet, les jambes de part et d’autre du stripes, c’est-à-dire la partie qui sera verticale lorsque l’instrument sera dressé. Elle ...
    ... dépose un baiser dessus, puis elle y frotte son sexe. Tout le monde la regarde, étonné. Elle peine à croire que son fantasme devient réalité. Elle s’aide de ses mains pour atteindre l’orgasme, rapidement, malgré la douleur de la couronne d’épines. Le plaisir est fulgurant. Elle pousse un râle de volupté, et trouve une joie étrange à s’exhiber ainsi, ce dont elle ne se serait jamais crue capable.
    
    Deux jeunes femmes, parmi l’assemblée, se lèvent pour la saisir par les bras. Elles sont habillées, l’une en légionnaire romain, l’autre en centurion de charme. Il faut que Julie soit flagellée. Cela fait partie des modalités habituelles d’une crucifixion. Elle se sera impitoyablement, déchirant sa peau enduite ensuite de sel et de vinaigre, ses poignets retenus par des fers et des chaînes reliées au plafond de l’église. Elle doit rester debout tandis que claque la lanière de cuir noir dont l’extrémité produit un bruit caractéristique quand elle franchit le mur du son. La centurionne tient le fouet qu’elle manie de main de maîtresse, afin de causer un maximum de douleur, toutefois avec retenue, sans aller jusqu’à l’évanouissement. Les claquements réguliers, ponctués par des ah ! de douleur, résonnent s
    
    ur les murs de l’église. L’assemblée se tient debout, en silence. Julie regarde sa poitrine striée d’estafilades sanglantes. Se jambes flageolent, mais elle sait que le supplice ne fait que commencer.
    
    La femme légionnaire libère les poignets de Julie qui est contrainte, à coups de ...
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