Soumission naturelle (6) - Histoires de Sexe

Soumission naturelle (6)

... un caractère bien trempé et elle savait ce qu’elle voulait; en l’occurrence ma semence mais rien de plus. Marie s’est assoupie et je fis de même pendant un peu plus d’une heure nous sommes restés l’un contre l’autre. Un moment unique pour chacun d’entre nous; vous vous imaginez bien. Nous reprîmes nos esprits vers 17h30 et là je constatai qu’elle avait mis un tampon hygiénique pour ne pas perdre ma semence; j’étais quelque part un peu flatté qu’elle y soit tant attachée...

À son réveil elle avait quelque peu changé et était un peu plus distante avec moi. C’est à ce moment-là que je réalisais que je n’étais qu’un vulgaire étalon reproducteur dont elle ne désirait que la semence. Cela me faisait quand même tout drôle d’être à côté d’une femme si belle et désirable et que je sois en train de me rhabiller en femme. Vers 18h Thierry est réapparu et Marie nous a quitté, j’ai eu le droit à une superbe main au cul de sa part avec un commentaire comme quoi j’étais une bonne bête. Thierry m’a demandé comment cela s’était passé et si je lui avais fait honneur. Dans les minutes qui suivirent il m’a emmené dans le séjour, il m’a fait agenouiller entre ses jambes; il s’est confortablement installé dans le canapé puis il m’a invité à lui faire un petit plaisir histoire de le décontracter. C’est avec gourmandise que je me suis mis à la tâche.

J’étais là à genoux face à lui, le bas de ma robe à l’arrière touchait mes talons; j’étais afairé à libérer l’accès à son dard. J’agissais ...

... avec beaucoup de délicatesse mais j’étais en même temps impatient de le voir apparaître. Je le tenais déjà en main, il était chaud épais, je le sentais désireux; mais je ne le voyais pas encore, j’étais impatient de me retrouver en tête à tête avec lui. Avec un peu d’aide de mon homme j’ai fini par accéder au fruit défendu mais qui me faisait tellement envie. Ils étaient longs épais et je voyais ses veines traverser ma sucette sur toute sa longueur. Après quelques instants à admirer cet appendice de près, j’ai fini par me prendre un douche et je verrai avec ma langue autour de son prépuce. Pendant que je le suçais, Thierry me tenait une conversation fermée en commentant ce qui s’était passé dans l’après-midi avec Marie. Il était bien conscient que je ne pouvais pas entrer dans la conversation compte tenu du fait que j’avais un bouche pleine de son sexe, occupé à lui donner du plaisir.

J’aimais vraiment la façon dont il me traitait comme une femme, avec beaucoup de douceur, je me sentais à lui, je me sentais sa soumise, je me sentais totalement offerte à cet homme qui avait fait de moi sa belle. En même temps que je le pompais, il me caressait mes cheveux qui commençaient à être d’une longueur conséquente. J’étais assez content de moi car à chaque fois que j’aspirais, je sentais que je lui faisais beaucoup d’effet je sentais surtout que le moment ultime s’approchait à grands pas. Puis ma turlutte a fini par payer, il m’a balancé toute sa liqueur au fond de la gorge. Il avait ...