Soumission naturelle (6) - Histoires de Sexe

Soumission naturelle (6)

... car ces noms d’oiseaux étaient tous au féminin. Marie prenait grand plaisir, apparemment, à me visiter le boyau; d’autant quelle était motivée en me voyant réagir à ses caresses très intimes. De mon côté j’essayais de récupérer le maximum de cyprine avec ma langue, mais j’avais l’impression que la source était intarissable.

Finalement elle a fini par commencer à prendre son pied car je commençais à trouver les points sensibles au niveau de son clito. Pour les experts les points sensibles représentent quelques mm carré retour de leur bouton d’amour. Par contre une fois que l’on a trouvé son tout petit coin sensible dès que l’on passe dessus avec la langue c’est d’une efficacité imparable. Ça y est je lui faisais prendre son pied avec ma langue et je n’ai pas pu empêcher ses jambes de se resserrer et du même coup me broyer les épaules puis la tête entre ses jambes. J’ai continué le tant bien que mal après l’extase avant de la sentir complètement se relâcher. Mon petit doigt me dit qu’elle venait de prendre un pied mémorable car elle avait l’air un peu dans les nuages pour ne pas dire beaucoup. Il lui a fallu un bon quart d’heure pour reprendre ses esprits.

Ensuite c’est elle qui a à nouveau donner le départ de la suite de notre partie de jambes en l’air. Le chapitre 2 était celui de la pénétration et par la même occasion celui de la fécondation ou de la saillie comme vous préférez. Elle a commencé par me saisir contre elle et nous faire allonger sur le lit, elle a pris ...

... soin de m’allonger sur ce dernier et de se mettre à califourchon sur moi ensuite. De mon côté mon érection était toujours pas passée et je n’en étais pas du tout étonné compte tenu du déroulement des opérations. Elle a veillé à relever ma robe jusqu’à mon nombril de telle façon à ce que mon sexe soit accessible en plus d’être rigide. Au début elle s’est mise à califourchon sur mes cuisses et a laissé tomber des gouttes de salive sur mon sexe pour bien le lubrifier. Elle m’a laissé comprendre que, en tant que gougnote, je pouvais toujours me toucher pour une fellation. Je ne faisais pas le difficile car les caresses qu’elles me pratiquaient étaient quand même très agréables.

Elle s’est ensuite approchée de moi tout en restant à califourchon sur moi et au fur et à mesure je sentais ses poils pubiens commencer à caresser les miens puis ensuite mon sexe. La elle a saisi mon dard pour se caresser le minou avec, avoir la tête qu’elle faisait cela devait lui faire quand même pas mal de bien. Mais je pense que la mission première de cette opération était de bien préparer son minou et de bien m’enduire mon sexe de sa cyprine. N’oublions pas que le jus de minou est le meilleur lubrifiant qui soit lors d’une pénétration. Enfin elle est venue s’empaler sur moi, elle a fait s’introduire mon sexe en mail d’un seul coup. Elle s’est quand même permis de m’informer avec un grand sourire que je ne la dépucelerais pas car de nombreux godes s’étaient chargés de ça. Pour moi qui n’avais pas eu ...