Soumission naturelle (6) - Histoires de Sexe

Soumission naturelle (6)

Salut c’est votre folle de lycra

Je m’excuse avant tout pour le temps que j’ai mis à donner une suite à cette histoire.

J’étais donc là totalement travesti à genoux entre les jambes d’une femme, caché sous sa robe en train de poser ma langue sur ses lèvres intimes. Voilà bien longtemps que je n’avais pas goûté au nectar féminin, c’est vrai qu’au niveau gustatif c’est quand même 100 fois plus plaisant que de pomper un dard. Le problème c’est que j’ai un côté soumis et qu’en plus j’adore me travestir et qu’en général cela ne plaît qu’aux hommes. Manifestement Marie était très impatiente que je lui broute son minou car dès que ma langue s’est posée dessus, elle a sursauté de plaisir. Au fond de moi je remerciais Thierry pour ce cadeau sexuel car c’est quand même agréable de donner du plaisir à une femme. La surprise suprême fut quand j’ai posé ma langue, le goût était divin; dire que toute cette cyprine, tout ce nectar féminin allait être pour moi.

Quand je vois d’aussi jolies femmes et surtout quand je broute un aussi joli minou je me dis que c’est vraiment du gâchis que cette femme soit lesbienne. Je me suis accroché à ses cuisses toutes douces, je lui ai un peu écarté les jambes pour me libérer l’accès et je me suis mis à lui laper son intimité. Pendant que je me désaltérais à cette source de plaisir, je me demandais comment une aussi jolie femme pouvait virer sa cuti. Qu’est-ce qui avait fait dans sa vie pour qu’un jour elle change de bord. En haut de ses bas, je ...

... pouvais savourer la douceur de sa peau; décidément elle avait vraiment tout pour faire craquer un homme. Au début ma langue se promenait de son périnée jusqu’à son clito.

Mais je voulais avant tout donner beaucoup de plaisir avec ma langue sur son clito; le fait qu’elle parle de moi au féminin ne me dérangeait pas, compte tenu du fait que Thierry le faisait déjà. Je reconnais quand même que ces propos venant de la bouche d’une femme étaient autrement plus touchants et troublants que quand cela sortait de la bouche de mon homme. En fait pendant que je lui excitais son petit bouton j’imaginais une femme à ma place en train de lui donner du plaisir. Maintenant mes mains étaient derrière ses fesses, je m’accrochais à elles tout en en profitant quand même pour les caresser. Comme d’habitude, j’ai essayé de me servir de la rugosité de ma langue pour lui chatouiller la partie la plus intime de son clito. Elle avait envie de resserrer les jambes mais je l’en empêchais avec mes coudes.

Avec ses longs cheveux quand elle se penchait sur moi je les sentais me frotter ou plutôt m’éfleurer à travers ma robe. En fait je croyais que Marie se penchait de plaisir mais en fait elle était partie me caresser mon petit cul. Quand elle a commencé à me glisser un doigt, puis un deuxième et finalement trois doigts; je me suis mis à tortiller les fesses dans tous les sens, tellement cela me faisait de l’effet. Cela lui a donné l’occasion de me traiter de tous les noms pour mon plus grand plaisir ...