Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... Je suis abasourdi, je n’ai plus un neurone actif. Mon Dieu, qu’elle est belle ! Ainsi offerte, elle ferait bander un eunuque. Je suis dans un état second et j’ai une érection pas possible. Arrive alors un homme en tenue de bloc, la totale avec masque, charlotte et gants. Dur de le reconnaître. Il tourne autour de la table d’opération, peaufine l’éclairage, se tourne vers la caméra qui est fixe ; ses yeux semblent me narguer. Il commence à s’intéresser à Élodie, caresse son visage, ses épaules ; des gestes très tendres. Tout doucement il descend jusqu’à sa poitrine et passe un temps infini à jouer avec ses seins magnifiques en forme de poire ; elle apprécie et le montre en venant appuyer sur ses mains.

Je suis malade, vert de jalousie. Il finit par atteindre son pubis épilé. La disposition de la caméra ne permet pas de voir ce qu’il lui fait, mais il n’y a aucun doute sur ses intentions. D’ailleurs Elodie ne tarde pas à réagir : ses yeux se ferment et sa respiration est plus profonde. Je vois sa main droite faire des va-et-vient alors que la gauche appuie au-dessus du pubis. Après un premier orgasme, le bonhomme tout de bleu vêtu vient se placer entre ses jambes et reprend ses attouchements. Cela dure, et Élodie ne peut s’empêcher de laisser échapper des gémissements. Elle l’encourage, même :

— Oh oui, c’est bon… J’adore ce que tu me fais. Va plus loin ; oui, comme ça. Encore…

Je ne connaissais pas Élodie aussi démonstrative. Il s’arrête tout à coup et baisse son ...

... masque ; je reconnais alors le docteur F.. Il s’agenouille devant l’entrejambe d’Élodie et vient coller sa bouche à ses lèvres intimes. Il commence alors à la dévorer comme je ne l’ai jamais vu faire. Il la mange avec une gloutonnerie limite sauvage ; les bruits de succion sont écœurants. Le résultat ne se fait pas attendre : Élodie se tord sur la table, elle crie son plaisir.

Je ne suis pas loin de me soulager dans mon caleçon. Et ce n’est que le début.

Il se relève, s’essuie la bouche d’un revers de manche et vient embrasser Élodie d’un tendre baiser qu’elle lui rend en projetant ses bras autour de son cou. Mon Dieu, que ce geste fait mal ! Il se redresse et fait descendre son pantalon sous lequel il est nu. Il lui faut relever sa casaque pour faire apparaître un sexe bandé qui me fait blêmir : ce n’est pas possible, il ne va pas lui mettre ça ! C’est hors norme, il va la déchirer !

Il s’approche de la table et pose son sexe sur le ventre d’Élodie ; il lui arrive au nombril. Elle ne semble pas effrayée, au contraire… Prenant un peu de recul, il la pénètre lentement sans préservatif tout en la regardant dans les yeux. Il semble guetter sa réaction, soucieux de ne pas lui faire de mal. Il progresse avec douceur, faisant de petits va-et-vient. Elle reste la bouche ouverte, cherchant son souffle, et pousse un feulement quand leur pubis se joignent.

Mon érection est douloureuse.

Après un moment, ses gestes tendres se font plus vifs plus amples. Je regrette que la ...