1. Les plaisirs d'Élodie


    Datte: 03/06/2018, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, grossexe, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation Oral légumes, pénétratio, double, fsodo, Partouze / Groupe totalsexe, f+medical, Auteur: Rémo54, Source: Revebebe

    ... le canapé.
    
    — Il est prévu pour quand, ce week-end ?
    — Fin octobre.
    — Il t’a parlé du programme ?
    — Non, il m’a seulement demandé de prévoir quelques vêtements de rechange. On doit retrouver un ami avec qui il a cohabité durant ses études.
    — Alors tu comptes y aller ?
    — Je sais ce qui m’attend, et je ne ferai rien sans ton autorisation. Je t’aime, et je ne voudrais pas te faire du mal.
    — Pour ça, c’est trop tard. Si tu y vas, c’est de ton plein gré ; moi, je m’en lave les mains. Assume !
    — Merci pour ton soutien.
    — Michel est au courant de ce chantage ?
    — Oui, et il m’a plus ou moins encouragée à y aller : il risque lui aussi sa place.
    — Il n’est pas gêné, celui-là ! Comme ça tu auras l’impression de faire une bonne action, et je me doute de quelle manière il va te remercier…
    — S’il te plaît, n’en rajoute pas ! OK, j’accorde à F. ces deux jours et après je ferai tout mon possible pour me racheter. Quoi qu’il se passe, il n’y a que toi qui comptes pour moi.
    
    Jusqu’au week-end fatidique, elle s’est montrée amoureuse comme jamais, et pourtant ce fut une semaine sans rapports sexuels. Ça ne lui ressemble pas : si je la néglige deux ou trois jours, c’est elle qui me sollicite. Est-ce qu’elle me joue la comédie ?
    
    Le départ arrive ; elle s’éclipse avec son sac de voyage très discrètement. Peut-être trop. Je commence à regretter de l’avoir laissée partir. C’est le week-end le plus long que j’ai connu. Deux jours à broyer du noir, deux jours interminables. Je ...
    ... l’imagine dans des situations scabreuses ; j’ai une très bonne imagination. Je vais découvrir qu’il y a pire que moi.
    
    Dimanche soir, je veille une bonne partie de la nuit ; elle n’est toujours pas rentrée. Je l’appelle et tombe sur sa boîte vocale. Je songe même à appeler Michel. Lundi matin, plutôt vaseux, je retourne à mon travail en essayant de me rassurer, me disant qu’elle sera là en rentrant ce soir.
    
    À mon retour à 19 heures, personne.
    
    Je pense à prendre le courrier, plus par automatisme. Je suis étonné de trouver une enveloppe à bulles contenant un DVD. Aucune indication de l’expéditeur, juste le tampon local. Une fois dans le salon je glisse le DVD dans le lecteur, je m’installe dans le canapé et appuie sur la touche lecture.
    
    Les premières images montrent un grand couloir. Je reconnais les lieux : c’est le bloc opératoire où travaille Élodie. Je la vois tout à coup arriver à l’extrémité du couloir ; apparition de rêve, entièrement nue, perchée sur des talons démesurés. La caméra zoome sur ses chaussures aux semelles rouges, ce sont des Louboutin, cadeau de ce cher docteur. Elle est accompagnée par Michel qui lui tient la main levée haut comme une princesse impudique. L’exhibition dure un moment. J’ai l’impression qu’elle y prend du plaisir. Arrivée à la hauteur de la caméra, elle tourne à droite dans une salle, laissant Michel seul dans le couloir.
    
    Le plan suivant, Élodie est allongée sur la table d’opération, les fesses au bord et les pieds dans des étriers. ...
«1234...15»