Rencontre II - Histoires de Sexe

Rencontre II

... vous rafraîchir dans le bar.
— Je ferai donc le service, mais je t’attendrai avec impatience afin que tu fasses le tien.
— Le mien ?
— Bien sûr. Ne comptes-tu pas te mettre à mon service ?
— Excusez-moi, je ne pensais, en disant cela, qu’à l’apéritif et à la boisson. Pour le reste, il me semble que j’ai déjà avancé dans ce sens, même timidement.
— C’est exact. Ton sens est le bon et ta timidité sera vite remplacée par le désir de m’obéir. Allez, va !

Il ne me faut pas longtemps pour me retrouver dans la tenue demandée. Dernières vérifications : je remonte ma culotte et tire sur mes bas. Je passe un déshabillé fermé par une simple ceinture nouée et je sors. Je ressens maintenant la différence entre ma tenue actuelle et le jogging que je portais il y a peu. L’arrière de ma culotte couvre à peine ma raie et me paraît bien légère pour protéger ma rondelle.

Je découvre Christophe dans une semi-pénombre, assis sur le canapé et un verre à la main. Apparemment, il nous a préparé un cocktail vodka-menthe. Chemise ouverte et pantalon laissant voir un boxer noir qui a du mal à contenir son sexe, il sirote la boisson en souriant. C’est en frissonnant que je m’approche et m’arrête face à lui.

— Suis-je mieux ainsi ?
— Il ne me semble pas que je t’avais demandé de mettre ce déshabillé !
— C’est exact, mais je craignais le froid et de plus, … aucun cadenas ne le tient fermé.
— Tu as sans doute raison, mais je ne pense pas que tu aies à craindre le froid.
— Je le pense ...

... aussi.
— Bois ce verre et souviens-toi de la première chose que je t’avais demandé de faire.

J’avale une profonde gorgée de whisky avant de reposer mon verre. Je n’ai pas oublié ma première leçon et me mets à genoux, le ventre au contact de ses genoux et je répète les mots qu’il m’avait dits :

— Amant et maître, je suis à vous. Je suis votre chose et vous obéirai. Ma position est celle dans laquelle vous aimerez me voir pour m’humilier et pour vous satisfaire.

Je n’attends pas pour, dans un premier temps, poser mes mains sur ses cuisses et ma tête sur l’étoffe tendue du slip. J’ouvre la bouche sur cet endroit et y reste un moment. Me redressant un peu, je passe mes mains sur l’intérieur des cuisses comme pour les faire ouvrir puis remonte sur la ceinture du vêtement. Mes doigts s’y glissent et le font descendre précautionneusement, aidés par Christophe qui s’est légèrement levé pour faciliter l’opération. Je suis maintenant face à ma tâche et je prends en main la verge que je n’avais jusque-là que devinée. Elle n’est pas particulièrement grosse mais me paraît nerveuse, et je la caresse délicatement avant de déposer un baiser sur le gland. Ma main prend délicatement les couilles gonflées et ma bouche s’ouvre sur le gland. Difficilement je suce en prenant le maximum en moi, et je sais à ce moment qu’il éprouve du plaisir. Quand je m’interromps afin de respirer, il me prend aux cheveux et me fait redresser la tête :

— Pas mal, chérie. Tu te débrouilles bien pour une ...