1. Adultes consentants


    Datte: 01/06/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... couleur.
    
    Une courtisane. Une call-girl de luxe. Une bourgeoise qui se dévergonde pour les beaux yeux de son amant.
    
    Voilà la femme que je vois dans la glace. Rien d’une vulgaire soumise, à la merci de sa maîtresse.
    
    Mais la vérité est multiple.
    
    Qui approche ce bâillon de mon visage, si ce n’est Agnès ? Ce bâillon si différent de celui que la femme portait hier, juste une boule rouge qui lui bloquait la bouche. Elle m’a choisi autre chose. Sorte de sexe double, dont la plus petite partie est glissée entre mes lèvres et littéralement figée avec la lanière qui entoure ma tête maintenant. De ce bâillon sort la partie plus longue, sexe rose, assez ressemblant à un pénis en érection.
    
    Mon visage est transformé par cette excroissance. Adieu la courtisane élégante. Mais Agnès n’en a pas terminé avec moi. Je dois m’agenouiller. Me voici à quatre pattes devant ce miroir qui est maintenant la preuve de ma soumission.
    
    Je reconnais la tige métallique, inox poli, courbé, une extrémité avec un anneau, l’autre une boule que je sais interchangeable. J’en connais l’usage depuis hier et le visionnage d’une des vidéos dans la boutique. Agnès m’a questionnée avant de choisir la taille de la boule. Car cette boule, c’est dans mon anus qu’elle l’introduit après l’avoir enduit de liquide huileux. La courbe de la tige suit celle de mes fesses pour approcher l’anneau de mon dos.
    
    Quelques secondes plus tard, mon bâillon et mon cul sont reliés. C’est toute la perversité de ce montage ...
    ... que la vidéo mettait en évidence. En évidence, mais moi j’en ai la réalité. Celle qui fait que la tension est telle que si je cherche à me pencher en avant c’est mon cul qui m’en fait la remontrance.
    
    La laisse me tire. La chienne que je suis doit avancer à quatre pattes. Chaque mouvement me vrille les entrailles. C’est étrange. Bien différent d’un sexe d’homme ou même d’un plug qui occupent l’espace en appui sur toutes les surfaces. Ici, la boule et même la tige qui sort de mon anus se déplacent, tournent, frottent, labourent.
    
    Le cou cambré, j’avance. Je découvre que les invités ne sont pas restés de simples spectateurs. Un sentiment de fierté m’envahit. C’est grâce à moi qu’ils sont excités. Un coup de cravache me rappelle qui est la maîtresse. On dirait qu’Agnès a lu dans mes pensées. Elle m’entraîne. C’est au dernier moment que je découvre ce qu’elle me réserve.
    
    Qui elle me réserve ! Claire. Claire assise, presque allongée dans son fauteuil, la robe relevée, la culotte – si jamais elle en avait porté une – envolée. Une Claire qui se caresse la chatte.
    
    La laisse tombe à terre. Il n’est pas nécessaire de m’expliquer. J’avance, je rampe, chienne avec un museau en forme de bite.
    
    Pour entrer dans sa fente, je dois pencher ma tête. Quelle perversité ! Je torture mon cul pour donner du plaisir à une autre.
    
    Combien de temps ne suis-je qu’une queue d’homme au service d’une femelle ? Une femelle qui bien vite se sert de ma tête comme d’un manche qui pousse et retire ...
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