1. Adultes consentants


    Datte: 01/06/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... ouverte. Les murmures s’arrêtent lorsque nous entrons. Ils sont là. Des fauteuils et un canapé sont apparus par magie. Le lit, par contre, a disparu. Je comprends que les rideaux servent à aménager la pièce pour les besoins de mes proprios.
    
    Je reconnais Claire et son mari.« Tiens ! Ce soir, c’est un convive normal, pas un soumis. Cela doit faire tout drôle de ne pas être le centre du jeu. » Je me demande si, à sa place, je ne serais pas vexée que quelqu’un d’autre me ravisse la vedette.
    
    Marc aussi qui me sourit, déjà complice de mes débuts. Les autres, je ne les connais pas. Agnès m’avait bien précisé que personne du village ne serait présent.
    
    Ils me regardent. Je suis au centre.
    
    — Qui commence ? demande Agnès, une paire de ciseaux à la main.
    
    Je frissonne, mais me rassure dans la seconde qui suit.
    
    C’est Hugo qui s’en empare. Il avance vers moi. Il joue de l’esclave qui le suit des yeux, et puis passe le métal froid sous mon polo. Je sursaute sous sa fraîcheur, mais surtout de ce premier contact. Il commence alors à couper le tissu de bas en haut, et lorsqu’il passe son outil à une femme, je ne porte plus qu’une relique qui pend de chaque côté de mon ventre, uniquement retenu par les manches.
    
    Alors ils se succèdent.
    
    Qui une manche.
    
    Qui une bretelle de soutien-gorge.
    
    Qui la longue découpe d’une jambe de pantalon.
    
    La petite culotte est réduite à une ceinture élastique lorsqu’elle tombe au sol.
    
    Je comprends la symbolique de ce lent ...
    ... effleurage. Une femme est entrée dans cette maison. Une autre en sortira. Un peu comme je l’ai ressenti hier dans la boutique.
    
    On apporte un tabouret. On m’y pousse. Une femme s’approche avec une trousse et entreprend de me maquiller. Vraiment, je ne m’attendais pas à pareil traitement. Elle prend son temps.
    
    Lorsqu’elle juge avoir terminé, on me relève. Le tabouret disparaît. Autour de moi, les invités recommencent leur manège. Mais cette fois-ci, c’est pour faire apparaître la nouvelle Laure. On m’a mise à nu, on me rhabille.
    
    Oh, pas une tenue pour sortir en ville, sauf pour une soirée spécialisée peut-être.
    
    Une fois terminé, Agnès me tire avec cette laisse de soumise vers un pan de mur occupé par un miroir. Je sais que ce n’est pas un miroir ordinaire. Quelques jours plus tôt, j’étais la voyeuse de l’autre côté. Mais dans cette pièce, c’est ma silhouette qu’il reflète.
    
    Une Laure élégante. Maquillée avec goût. Mes lèvres rouges apportent une touche de couleur à mon visage. Les boucles d’oreilles participent à cette mise en valeur.
    
    Plus bas, le corset noir qui étrangle ma taille tranche avec ma poitrine pas encore suffisamment bronzée. Mes seins semblent reposer sur un encorbellement de tissu. Les bijoux qui tirent de tout leur poids sur mes tétons accentuent cette impression d’offrande aux regards des autres. Mes hanches, parfaites rondeurs exacerbées par ma taille étouffée, sont soulignées d’une bande noire. Bande qui fait la jonction avec les bas de la même ...
«12...678...15»