1. Adultes consentants


    Datte: 01/06/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... de réservation. En plus, ce genre de clientèle aime aussi l’exhib ; alors, la plupart du temps, le volet est levé et des voyeurs qui payent peuvent en profiter. C’est double encaissement.
    — Si je comprends bien, j’aurais dû te demander un pourcentage et non pas un simple chèque.
    — Eh oui. Mais t’inquiète, j’ai d’autres projets.
    — Ah ?
    — On en parlera plus tard. Laisse-moi continuer. Sur le site de la boutique, j’ai ouvert une zone « tchat » sur cette chambre. J’en ai profité pour rappeler le côté « partagé et volontaire des partenaires qui utilisent cette chambre ». D’ailleurs, avant de donner la clé, je demande à chacun de signer une sorte de « décharge » où ils reconnaissent venir de leur plein gré et sans aucune contrainte. Il se forme des sortes de fan-clubs où les gens discutent. J’ai pu voir aussi qu’ils avaient certaines demandes. Cela me permet de m’approvisionner ; en conséquence, mon chiffre d’affaires sur ces accessoires a doublé. Et maintenant j’organise aussi des soirées, payantes bien sûr, avec des formateurs. J’ai un spécialiste du bondage qui travaille en salle comble. C’est vrai que je limite le nombre car les clients peuvent s’exercer sous son contrôle. C’est extra ! Mais j’y pense, tu veux voir ? Justement, un couple est arrivé depuis peu.
    — Pourquoi pas ?
    — Tiens.
    
    Et il lui donne un jeton.
    
    Je suis Agnès. Elle prend l’escalier indiqué « chambres à l’étage ». Exactement comme à l’hôtel. Les murs sont tapissés de photos des chambres. Dans le ...
    ... couloir où nous arrivons, nous passons devant des portes qui portent le nom de leur thème : « Venise », « Orient », « Bateau », « Cinéma »…
    
    Pourquoi ne suis-je pas étonnée de voir « BDSM. Libre Expression. » ?
    
    Et c’est dans la poignée de cette porte qu’Agnès glisse son jeton. Elle tire la porte sur elle. Il fait sombre, mais elle m’invite à entrer et elle referme aussitôt. Quelques secondes sont nécessaires pour s’habituer. Ce n’est pas qu’il fasse vraiment noir, mais plutôt que la lumière provient d’un mur et que la luminosité, même si elle n’est pas très forte, détourne de ce que l’on peut voir de la pièce.
    
    Évidemment, mon regard est attiré par la lumière. Décidément, j’ai un abonnement aux miroirs sans tain. Mais après tout, si j’ai bien compris, c’est Agnès qui est l’architecte de cette chambre. Sauf qu’ici on est dans le grand. C’est tout le mur qui est en verre.
    
    On approche. Des silhouettes se dessinent dans la pièce. Un couple et deux hommes. Chacun regardant de l’autre côté. Une barre matérialise et sert de protection au miroir. Tous les quatre nous ignorent. Ils ont dû nous regarder à notre arrivée, mais ils n’étaient pour nous encore que des ombres.
    
    Et je les comprends. Quel intérêt, deux femmes qui entrent ? Deux voyeuses de plus, c’est tout. Ce qui se passe de l’autre côté du miroir est autrement plus intéressant.
    
    — Cochonne. Salope. Tu m’as trompée ! Tu vas voir ! Tiens, prends ça.
    
    Manifestement, un haut-parleur transmet ce qui se dit à côté.
    
    À ...
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