1. Petit traité de sociologie amateur


    Datte: 01/06/2018, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe

    ... perverses d’un patient pourront les excéder. Esméralda a, par exemple, réagit brutalement à des pratiques masturbatoires exhibées d’un malade. Les murs du couloir s’en souviennent encore. Et le malade a décidé, la queue entre les jambes d’aller se faire soigner ailleurs (en psychiatrie aurait été une bonne idée selon Esméralda).
    
    Mais quand elles réagissent, la plupart du temps, c’est quand même dans la bonne humeur. Ce sera par exemple un zizi tout riquiqui ostensiblement exhibé, une érection particulièrement rythmée, ou une excuse maladroite d’un patient « je lui ai dit de rester calme, mais comme vous voyez, il veut pas », qui amèneront ces infirmières à quitter la chambre aux prises avec un grand fou rire. Je parierais pour une trentaine de pourcent d’infirmières qui émargent à cette catégorie.
    
    Les zobsédées. (Non, il n’y a pas de faute d’orthographe !)
    
    Reste donc une grosse moitié d’infirmières (certainement les plus intéressantes à décrire ici !) qui, dans les conversations entre collègues, manifestent un intérêt évident pour le sexe et notamment les sexes de leurs patients.
    
    Quand on parle de sexes des patients, il serait parfois plus raisonnable de parler de leur physique. En effet, certaines sont fans de tel ou tel malade parce qu’il a des yeux, mais des yeux… D’autres préféreront le torse viril, ou les plaquettes de chocolat qui sculptent les ventres… mais face aux intimités aussi régulièrement exhibées, il faut admettre que les zizis ou les fesses ...
    ... (ah les fesses !) occupent une grande place dans les conversations… Quasi toute la place, même. Excepté quand il faut aller au turbin émotionnellement prenant, c’est-à-dire surtout quand les souffrances sont là. Dans ces moments, la conscience professionnelle reprend vite le dessus.
    
    D’autres moments de travail permettent cependant à cette catégorie d’infirmières de satisfaire leurs pulsions d’« obsédées ». C’est de cette catégorie que sont bien entendus issus les surnoms donnés aux malades. 36 cm (ou d’autres tailles !), érectionman, l’exhib sont des noms assez courants dans certains bureaux d’infirmières des hôpitaux. Ce sont aussi ces infirmières qui jouent le rôle de tour-operator dans les couloirs et invitent les collègues à visiter telle ou telle chambre pour observer… l’impensable, l’inimaginable.
    
    Et il arrive que certains messieurs se voient soignés par une quantité anormale d’infirmières qui toutes doivent, à un moment ou un autre, et pour des raisons parfois douteuses, s’attaquer au pantalon de pyjama…
    
    Bien sûr, toutes ne sont pas des perverses excessives qui organiseraient des soins imaginaires pour observer la bête, mais ces infirmières existent cependant. En nombre restreint, mais cela n’est pas non plus exceptionnel.
    
    Mais des pratiques plus courantes sont surtout à l’œuvre. Si une, voire deux, infirmières suffisent largement pour assurer la toilette d’un patient incapable de se laver seul, il peut arriver qu’un de ces malades ou blessés, au membre ...
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