1. Complexe qui devient attrait


    Datte: 31/05/2018, Catégories: fh, ff, jeunes, couplus, enceinte, grosseins, complexe, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, couple, entrecoup, fbi, Auteur: Audrey, Source: Revebebe

    ... temps, faisant monter le plaisir en moi, sous le regard intéressé d’Alain et de Morgane.
    
    Et l’été suivant, c’est à quatre que nous sommes allés vivre tout nus et prendre du bon temps dans un centre naturiste, sur le bord de la côte Atlantique. Dominique ne connaissait pas cette façon de vivre, mais il y adhéra tout de suite. Cette adaptation fut facilitée par l’assurance et l’acceptation qu’il avait de son corps et une pudeur toute relative. Se mettre nu ne lui posa aucun problème. Rester de marbre en toutes circonstances fut plus délicat, surtout dans les premiers temps.
    
    Il n’était pas question de toucher au compagnon de ma copine, bien qu’il fût très séduisant, tandis qu’elle ne devait plus jamais toucher à mon homme qui avait eu pour elle un effet deux-en-un : lui faire un bébé et la réconcilier avec les amours hétérosexuelles.
    
    Mais voilà, la proximité de nos deux couples aux relations croisées et la promiscuité d’un bungalow firent déraper les choses. La nudité totale et constante de nos corps dépassa le seul plaisir du naturisme. Même si mes sentiments pour Alain ne changeaient pas, je l’aimais, et c’était le seul homme de ma vie, j’avouais que Dominique ne me laissait pas indifférente. Pourtant, je l’appréciais comme ami, ne pensant pas en faire un jour mon amant.
    
    Tout commença lorsque nous batifolions dans l’eau, jouant à nous poursuivre, à nous attraper, à nous chavirer les uns les autres. Les mains qui s’aventuraient dans des zones susceptibles de ...
    ... provoquer de l’excitation sexuelle n’étaient pas toujours identifiées. Que ces attouchements fussent volontaires ou fortuits, ils étaient bien acceptés. Un petit jeu « à l’insu de notre plein gré » sans importance qui faisait tout de même rougir Morgane.
    
    Sur la terrasse de notre logement, en fin de journée, nous aimions bien, chacun sa chacune, nous caresser discrètement, voyant les autres vacanciers déambuler sans être vu d’eux. Nous maudissions ceux qui étaient habillés alors que nous étions dans un lieu où ce n’était vraiment pas nécessaire.
    
    Bientôt nos regards se reportaient sur l’autre couple, moi voyant le sexe de Dominique grossir dans la main de Morgane, lui regardant mes seins pétris par Alain. Et deux couples se prodiguant des caresses ne pouvaient rester longtemps sages et par discrétion nous allâmes à l’intérieur, sans gagner nos chambres respectives. Là, les caresses se poursuivaient et les mains se faisaient baladeuses. Nous ne l’ignorions pas, puisqu’il aurait fallu que nos hommes soient Vishnou aux multiples bras pour pétrir différentes parties de notre corps. Comment se faisait-il que mes deux seins soient empaumés et mon sexe trifouillé simultanément ? Était-il possible que Morgane ait les fesses soutenues par deux mains viriles et que deux autres tout aussi puissantes lui agacent ses tétons ? Alors moi aussi j’ai lancé ma main au hasard, et de ma pêche je trouvais ici une moule humide, là un poisson plus ou moins gros et de plus grosses prises qui me ...