Redevance télévisuelle
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
fh,
amour,
mélo,
coupfoudr,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... popotin, tourbillonnant autour de l’axe que je lui enfonce sans trop de ménagement, tandis que je la maintiens fermement. Là, maintenant, c’est moi qui tiens le manche et qui le lui fais savoir. D’ailleurs, elle ne bronche pas, soumise et même demandeuse…
Je me retire momentanément, je me frotte sans vergogne entre ses fesses, juste avant de replonger voluptueusement en elle. C’est follement excitant ! Pourtant ce n’est pas la première fois que je le fais, ça fait même des années que je pratique avec Cécile, mais je ne m’en lasse pas ! Tout comme je ne me lasse pas de lui faire l’amour encore et toujours, sans raison valable, uniquement parce que c’est elle, rien qu’elle. Faut-il une raison ou être fou d’une personne ?
Puis je me décide, j’ai le manche maintenant, et j’escompte bien le lui faire sentir ! Alors posément, je me retire lentement, le faisant bien coulisser entre ses lèvres mouillées, puis je saisis le bout de ma barre entre mes doigts et, calmement, méthodiquement, je l’applique dans le creux de la petite cuvette de son anus déjà tout humectée.
Elle frémit. Je souris.
Fermement calé, je pousse lentement mais sûrement. Sa rondelle s’ouvre petit à petit, l’arrondi de mon gland s’enfonce déjà. De son côté, elle se met en appui sur ses bras, son postérieur bien mis en évidence, m’offrant une voie royale. Sans rémission, je continue ma lente avancée en elle, le gland disparaît peu à peu, mon frein s’engloutit en elle, ma tige de chair coulisse ...
... inexorablement. J’aurais pu y aller plus rapidement, plus brutalement, comme je l’ai déjà maintes fois fait, mais aujourd’hui, je veux m’offrir le plaisir de m’enfoncer en elle très longuement, de lui faire sentir millimètre par millimètre toute ma tige.
Elle soupire, elle gémit, elle grogne. Moi, je me maîtrise du mieux que je puis, car s’enfoncer ainsi est très dangereux pour son self-control ! Avec plaisir, je contemple la moitié de ma bite dissimulée en elle, je ressens terriblement bien les moindres aspérités de son étroit conduit. Une sensation d’enfer, hautement périlleuse, tant je dois lutter pour ne pas m’abandonner !
Toute ma tige est en elle, mes testicules butent sur sa chatte détrempée. Je suis à présent bien au fond de son fourreau tout chaud, dans cet endroit si maudit par tant de prédicateurs, honni par la morale bien pensante de nombre de siècles d’avant. Mais tellement fascinant !
C’est alors que retentit le signal de la folle cavalcade !
Peu m’importe le reste du monde, je la veux complètement soumise à mes coups de butoir ! Je la veux consentante à mon intrusion en elle ! Je coulisse en elle, ma tige la pistonnant sans répit, sans tendresse, dans une atmosphère de folie, dans le simple but d’aller en elle, toujours un peu plus loin, toujours un peu plus remplie, toujours un peu plus envahie ! Je ne ménage pas mes efforts, elle se cabre, s’entrouvre plus encore, sa rondelle totalement ouverte, son conduit complètement saturé par ma présence arrogante. Ma ...