Les prédateurs
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
inconnu,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
mélo,
amourdram,
regrets,
entrecoup,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... en silence, comme si elle acceptait ce sexe qui écarte son cul pour entrer lentement, toujours plus loin.
Sophie recommence à osciller des hanches, et le plaisir revient, même si je ne peux pas enlever les yeux des fesses de Jan, et de son sexe qui s’enfonce dans l’anus de Delphine. Brusquement, il progresse d’un coup, ses fesses viennent contre le cul de Delphine : ses chairs ont cédé, et elle accompagne ce renoncement d’un long soupir. Jan commence son va-et-vient dans les reins de Delphine, lentement au début, plus vite ensuite. Sophie, de sa main sur mon menton, détourne mon visage, pose sa tête contre la mienne, me masquant Delphine, et me dit :
— Ne t’inquiète pas, elle est heureuse, moi aussi. Ne pense qu’à nous.
Ses hanches ont recommencé à danser sur mon sexe, et le plaisir revient, lentement, sûrement. Un cri encore, aigu et long. Delphine jouit à nouveau. Sophie relève sa tête, pour me laisser regarder : Jan est courbé sur Delphine, le bras droit passé sous son ventre. Il l’a caressée de la main, jusqu’à l’orgasme, en même temps qu’il l’enculait… Sophie avait raison : c’est peut-être un intellectuel, mais il a aussi d’autres talents. Il se redresse, et pilonne le cul de Delphine, en la tenant maintenant par les hanches. Delphine a posé sa tête sur le divan, complètement offerte. Je ne l’avais jamais vue ainsi. Son visage n’exprime rien, sinon une infinie douceur. La morsure de la jalousie me saisit le cœur. Mais Sophie dissipe cette douleur. Elle pose à ...
... nouveau son visage contre le mien, m’empêchant de voir Delphine :
— À toi, maintenant.
Elle alterne mouvements longs et courts, lents et rapides. Je suis à elle, je dépends d’elle, je gémis quand elle le veut, comme elle le veut, Delphine et Jan n’existent plus, je ne suis plus qu’une bite, prise dans le fourreau de sa chatte. Je lui dis que je vais jouir, pour qu’elle continue, pour qu’elle ne s’arrête pas, surtout pas maintenant. Mais elle ralentit :
— Regarde-moi, je veux te voir jouir.
Son visage est grave, ses yeux sont plissés comme si elle faisait un effort. Elle ne bouge pas, et pourtant je sens son fourreau devenir un étau qui presse ma bite, la relâche, la presse à nouveau. Jamais une femme ne m’a fait ça. Une dernière pression, et j’explose en elle, je l’inonde de longues saccades de sperme qui semblent venir du plus profond de mon ventre. Elle s’abat sur moi, m’embrasse, me cajole :
— Viens, c’est bien, viens encore, je suis heureuse.
Je suis ailleurs, loin, très loin. Une sorte de grognement me fait revenir sur terre. C’est Jan. Je l’avais oublié. Il vient de jouir, lui aussi. Il se retire lentement des fesses de Delphine, son sexe semble interminable. Il est toujours dressé vers son anus quand il sort enfin, et Jan donne une petite tape sur les fesses de Delphine, comme pour lui dire qu’il est content d’elle, qu’elle s’est bien conduite. Après, il embrasse ses fesses, les écarte à pleines mains, et les tourne vers nous. Je ne vois pas bien, car ...