Les prédateurs
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
inconnu,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
mélo,
amourdram,
regrets,
entrecoup,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... ballerines.
La maison de Sophie n’est pas loin. Blanche, comme toutes les maisons de l’île, donnant sur la rue, avec un étage. Elle nous montre notre chambre, au rez-de-chaussée, puis nous montons l’escalier. Là-haut, une vaste pièce, qui donne sur un jardin privatif, avec une véranda et une très belle vue sur la Méditerranée. Son mari s’est retourné, entendant du bruit dans l’escalier. Il est assis à un bureau, face à la mer, et nous regarde, curieux, à travers de petites lunettes de vue.
— Jan, je te présente des amis français, Delphine et Olivier. Je les ai rencontrés chez Stavros. Ils sont étudiants, viennent d’arriver à Paros et vont passer quelques jours sur l’île. Ils ne savaient pas où loger. Alors je les ai invités chez nous. Ça te sortira peut-être de tes livres…
Jan acquiesce et se lève pour nous serrer la main. C’est un colosse : un mètre quatre-vingt-dix, larges épaules, un peu de ventre, la quarantaine. Son accueil n’est pas hostile, mais manque de chaleur : un bonjour, quelques mots dans un excellent français prononcé avec un fort accent nordique, et il revient à ses livres. Sophie avait raison : un ours, le physique comme le comportement.
— Je suppose que vous avez envie de prendre une douche. Installez-vous, et si vous voulez, je vous emmène ensuite sur une plage que je connais. Jan n’aime pas la plage. Le soleil n’est pas son ami. Il préfère ses livres.
Une heure plus tard, départ dans la Méhari de Sophie. Elle est toujours en djellabah et ...
... en tongs :
— Je vous emmène sur une plage que ne connaissent pas les touristes. Un coin superbe, vous verrez.
Sophie n’a pas menti : une petite crique, une mer d’un bleu translucide, juste une dizaine de personnes. Je ressens un choc quand elle enlève sa djellabah : son corps est puissant, ample, ferme, doré par le soleil, ses jambes sont longues et musclées. On dirait une statue, avec quelques rondeurs - le ventre, les seins - qui la rendent douce. Je n’avais pas encore remarqué qu’elle était belle : une vraie femme.
Avec son physique menu, Delphine, à côté d’elle, ressemble à sa petite sœur, à tous points de vue. Le plus naturellement du monde, Sophie dégrafe le haut de son maillot. Ses seins sont pleins, lourds, avec de larges aréoles marron foncé. Ils tombent en peu, en s’écartant. Mais ils ont l’air conquérants, comme une promesse.
Du coup, Delphine enlève aussi le haut de son maillot et dévoile ses petits seins pointus, plantés hauts. Une dizaine de mètres plus loin, un couple s’embrasse, corps contre corps. Delphine les regarde, et se retourne vers moi, un sourire dans les yeux. Je sais à quoi elle pense. Elle aimerait faire comme eux. Moi aussi. Mais ça ne serait pas sympa pour Sophie. Alors, nous discutons. Je lui dis que je suis en deuxième année de droit, Delphine en première année de lettres. Sophie veut savoir ce que nous voulons faire plus tard, depuis combien de temps nous sommes ensemble. Elle nous parle de son enfance à Marseille, de sa rencontre ...