1. Les prédateurs


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fh, 2couples, hplusag, fplusag, jeunes, couplus, inconnu, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, échange, mélo, amourdram, regrets, entrecoup, Auteur: Xavier2, Source: Revebebe

    Le bateau accoste doucement à Paros. Ce sont nos premières vacances. Nous sortons ensemble depuis près d’un an. Un amour fusionnel, irréfléchi, comme il peut l’être à 20 ans. J’en ai juste un peu plus, Delphine juste un peu moins. On baise comme des lapins, beaucoup, partout, pour se prouver qu’on s’aime, qu’il n’y a que nous. Mais nos nuits ont été rares. Elle vit chez ses parents, moi aussi. Là, nous attend tout un mois à dormir ensemble, chaque nuit, avant la reprise des cours à la fac, mi-octobre. Nous allons enfin être un vrai couple…
    
    La nuit précédente a été courte. Arrivée tardive à Athènes, un hôtel moche, du bruit dehors, lever tôt pour prendre le bateau. Nous descendons entre deux haies de Grecs qui crient« rooms, rooms ». Pas envie de suivre le premier venu pour trouver une chambre chez l’habitant. Il y a un café sympa, là-bas, qui donne sur le port. Quelques instants de repos nous feront du bien.
    
    Nous posons nos sacs, nous asseyons, échangeons quelques mots, quand une voix nous interrompt :
    
    — Bienvenue à Paros.
    
    Nous nous retournons : une femme nous sourit. Brune, 35-40 ans, de grandes lunettes de soleil.
    
    — Vous êtes Français, n’est-ce pas ? Moi aussi. Mais je vis au Danemark avec mon mari. Ça me fait plaisir de parler français.
    
    Les présentations sont vite faites : Sophie, Delphine, Olivier. Je lui dis que nous sommes arrivés en Grèce la veille. Elle est là depuis le début de l’été :
    
    — Mon mari a acheté une petite maison à Paros. Nous y ...
    ... passons chaque été depuis quatre ans. Il est professeur de littérature française à l’université de Copenhague. Mais le mois que je préfère, c’est septembre. Il y a moins de monde, et nos enfants sont repartis chez la mère de mon mari. C’est elle qui assure la rentrée scolaire. C’est bon de se retrouver seuls, pendant un mois. Au fait, vous savez où loger à Paros ?
    — Non, nous n’avons pas encore cherché. Mais nous n’allons rester que quelques jours, afin de visiter d’autres îles.
    — Alors venez chez nous. Il y a une chambre indépendante, au rez-de-chaussée. Vous serez tranquilles. Et Jan est un peu ours, toujours plongé dans ses livres. Je serai contente d’avoir un peu de compagnie, de vous montrer l’île, et de parler français.
    
    Comment refuser ? C’est plutôt un coup de chance : à peine débarqués, rencontrer une Française qui connaît bien Paros et nous propose l’hospitalité.
    
    Sophie se lève. Elle est grande, plutôt charpentée, avec un visage énergique. Mais je ne prête pas beaucoup d’attention à elle. Son corps est enveloppé dans une sorte de djellabah blanche qui en masque les formes. De toute manière, je ne regarde que Delphine. Sophie lui propose de prendre un de ses deux sacs, et le soulève comme une plume. Delphine n’est pas du même gabarit : petite, très mince, avec un corps d’adolescente. Mais j’aime ses petits seins, ses jambes minces, son ventre plat, ses reins creusés, ses fesses dures, son visage rieur et mutin, ses allures de Lolita avec ses cheveux courts et ses ...
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