1. Les prédateurs


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fh, 2couples, hplusag, fplusag, jeunes, couplus, inconnu, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, échange, mélo, amourdram, regrets, entrecoup, Auteur: Xavier2, Source: Revebebe

    ... plutôt.
    
    Elle me pousse sur l’autre divan, déboutonne mon jean, passe sa main dans l’entrebâillement de mon caleçon, et saisit mon sexe devenu dur. Si je n’avais pas eu la tête entre ses seins, j’aurais crié de plaisir : sa main est forte, impérieuse. Je déboutonne sa chemise, je n’arrive pas à dégrafer son soutien-gorge, alors de son autre main, elle le fait, et offre sa poitrine à ma bouche pendant qu’elle commence à me branler. J’en oublie Delphine. Seuls m’intéressent ses seins, doux, soyeux, et les ondes de plaisir qui partent de ma bite et me remontent dans tout le corps. Mes mains passent sous sa jupe, remontent ses cuisses chaudes et fermes, soulèvent la paroi de son slip : son sexe est trempé, elle halète, visage plongé dans mon cou. J’enlève mon jean qui me gêne. Elle fait glisser mon caleçon, enlève sa chemise, sa jupe, son slip, fait glisser mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Nous sommes nus.
    
    Un bref regard vers Delphine. Non, elle n’est pas évanouie. Jan la tient bizarrement : il a passé un bras derrière les siens. Son corps est en arc de cercle, torse tendu, l’autre bras de Jan sous son tee-shirt. Je ne vois pas son visage, mais elle semble répondre à ses baisers. Je n’ai même pas le temps de m’en inquiéter. Sophie m’attire vers elle, et je sombre dans l’ivresse de sa chaleur, de la douceur de sa peau, de son odeur forte de femme. Elle pousse ma tête vers la base de son corps, la dirige vers son sexe. J’ouvre ses lèvres et lape son vagin ouvert. Elle ...
    ... gémit, se tord sous la caresse de ma langue. Je remonte vers son clitoris, dur et dressé comme un petit obélisque. Ses parois sont douces. Elle guide les mouvements de ma langue en pressant sur ma tête. J’accompagne les ondulations de ses hanches en la pénétrant de deux doigts, jusqu’à la garde. J’entends un cri aigu, qui m’est familier : c’est Delphine. Mais seul m’importe le plaisir que je sens monter dans le grand corps de Sophie. Je suis sa progression, je ne la lâche pas, même quand l’orgasme éclate en elle et que son bassin est agité de soubresauts. Je bois son suc et je me redresse pour la regarder. Ma bite est dure comme du bois, elle est sous moi, abandonnée, sa tête roule d’un côté à l’autre, les yeux clos, comme si elle voulait dire non, mais ses seins se gonflent au rythme de sa respiration. Je me sens déjà victorieux de ce grand corps de femme, qui n’a pas encore goûté à ma bite.
    
    Sur l’autre divan, le mouvement du bassin de Jan, et les jambes fines de Delphine nouées autour de ses reins sont explicites : il la prend, régulièrement, profondément. C’est étrange : la femme que j’aime se fait sauter à quatre mètres de moi, et je ne remarque que sa jupe blanche troussée, les grosses fesses de Jan qui a juste baissé son pantalon. La seule pensée qui me vient à l’esprit est de me dire qu’il la baise comme un gros soudard, sans même lui avoir enlevé sa jupe, ni ôté son pantalon. C’est le degré zéro de la réflexion. Mais je ne vais pas plus loin. De ses bras, de ses jambes, ...
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