Les prédateurs
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
inconnu,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
mélo,
amourdram,
regrets,
entrecoup,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... avec Jan venu passer un an à Aix durant ses études, du Danemark, de leurs enfants, de son job de bibliothécaire à la fac de son mari.
Puis Sophie va se baigner. Quand elle revient, nouveau choc : ses seins, raidis par le contact de l’eau, semblent la précéder et bougent au rythme de ses pas. On dirait une guerrière de l’amour, qui marche vers moi…
— L’eau est délicieuse. Allez, venez…
Delphine dit qu’elle est fatiguée et préfère bronzer. Sophie me tend la main pour m’aider à me redresser. Je la prends. Il me semble qu’elle la garde dans la sienne plus longtemps qu’il n’est nécessaire. Une légère pression, puis ses doigts se séparent des miens en caressant légèrement ma paume. Delphine n’a rien vu. Et moi, je me mets à rêver. Sans doute Sophie s’ennuie-t-elle, avec son mari toujours fourré dans ses livres. C’est peut-être pour ça qu’elle nous a invités si vite, sans même nous connaître. Un corps pareil, fait pour l’amour, a besoin d’être irrigué. Et les Danois ont la réputation d’être de mœurs libres. Son mari est plus âgé qu’elle. Il doit lui laisser faire quelques extras, surtout quand leurs enfants ne sont pas là…
J’aime Delphine, mais je n’ai jamais fait l’amour avec une femme, avec une vraie femme. Delphine aussi aime faire l’amour. Alors pourquoi pas un coup double ? C’est un de mes fantasmes : baiser avec deux femmes en même temps. Avec Delphine et une femme de 35 ans, ça serait encore mieux… Heureusement que nous sommes dans l’eau, car je commence à bander ...
... à cette pensée !
Mais si c’était une avance, Sophie en reste là. Il n’y a rien d’ambigu pendant notre baignade. Elle nage un crawl puissant, au point que je m’essouffle à la suivre, même si je suis plutôt sportif. De retour sur la plage, elle sort de l’huile solaire de son sac, s’en enduit le torse, le visage, et nous conseille d’en mettre en nous tendant son tube :
— Le soleil est traître, ici. Méfiez-vous, avec vos peaux blanches. Pour le dos, rien ne vaut des mains d’homme pour bien faire pénétrer l’huile.
Je prends cette dernière phrase comme une nouvelle invitation. Les deux femmes se sont couchées sur le ventre. Je commence par Delphine, en lui massant un peu les épaules, la nuque et les reins. Puis, je passe à Sophie, en laissant traîner un peu mes mains sur son dos. Je recommence à bander. Ces deux femmes, alanguies devant moi, la grande et la petite, avec la raie des fesses qui sort du maillot, offertes à mes mains. Je fais bien attention de ne pas aller trop loin avec Sophie, mais je me sens puissant, viril, j’imagine que je les ai baisées l’une après l’autre, qu’elles sont à moi…
Le même sentiment me reprend dans la voiture, au retour. La fin de l’après-midi a pourtant été calme. J’ai accompagné Delphine se baigner : elle m’a dit qu’elle voulait avoir la peau salée quand nous ferons l’amour, est venue contre moi dans l’eau, m’a embrassé avec cet air un peu perdu que je lui connais quand elle a envie de faire l’amour. Sophie nous a parlé d’elle, de son ...