1. Les prédateurs


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fh, 2couples, hplusag, fplusag, jeunes, couplus, inconnu, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, échange, mélo, amourdram, regrets, entrecoup, Auteur: Xavier2, Source: Revebebe

    ... me redresse, je retourne Sophie, je lui écarte les fesses, et plante ma langue dans son œillet. Moi aussi, je veux la prendre par là, puisque Jan l’a fait avec Delphine. Je le lui dis. Elle me repousse gentiment :
    
    — Non. C’est pour Jan, rien que pour Jan. Ça peut te sembler étrange, mais c’est comme ça. C’est mon mari…
    — Mais lui, il l’a bien fait avec Delphine.
    — D’abord, il ne lui pas pas demandé. Tu es jeune. Tu apprendras qu’on ne demande jamais ça à une femme. Il a fait en sorte qu’elle en ait envie. Et elle était d’accord. Moi, je ne le fais qu’avec lui. Mais il y a tant d’autres choses à faire. Tu vas voir….
    
    Elle me fait asseoir sur le rebord du lit, jambes tournées vers l’extérieur, et se met à genoux face à moi. Elle écarte mes jambes, pose une main à plat sous mes testicules, et de l’autre commence à me branler. Soudain, la main qui court le long de ma hampe s’abat plus violemment, et compresse mes bourses remontées par son autre main à plat. Une onde de douleur traverse mon corps, bientôt remplacée par des ondes de plaisir quand sa main redevient plus douce et ses lèvres sucent mon gland, comme pour se faire pardonner cette maladresse.
    
    Mais bientôt elle recommence, la main qui s’abat trop vite, trop loin, et heurte du tranchant mes testicules. La même douleur fugace, que des lèvres et une main redevenue douce et habile remplacent par du plaisir. Une fois, deux fois, trois fois, une pointe de douleur vient ainsi troubler mon plaisir. Je comprends que ...
    ... ce n’est pas de la maladresse : c’est un supplice délicieux et diabolique. Chaque fois que la main de Sophie est en haut de ma hampe, prête à s’abaisser, j’ignore si elle va me donner du plaisir ou un peu de douleur…
    
    J’ai l’impression qu’elle tient tout mon corps et tout mon esprit avec ses mains. Je suis maintenant couché sur le dos, reins creusés, torse en arc de cercle, face à cette femme qui décide de mon plaisir et m’a rendu dépendant de ses gestes. L’attente et l’incertitude sont insupportables. Mais le plaisir se trouve dédoublé par le soulagement, jusqu’au prochain choc… Quand je sens venir la jouissance, je ne la retarde pas, au contraire, j’essaie de la hâter de crainte d’un nouveau choc sur mes testicules, qui heureusement ne vient pas. Ma jouissance est fulgurante : j’ai le sentiment d’avoir éjaculé jusqu’au plafond. Sophie se couche sur moi, provocante :
    
    — J’espère que je ne t’ai pas fait mal
    — Tu es diabolique, et déloyale
    — Non, il n’y a jamais de déloyauté en amour. Chacun utilise ses armes. Moi, c’est l’expérience. Toi, tu es jeune, vigoureux. Montre-le moi…
    
    Je ne sais pas combien de fois nous avons fait l’amour cette nuit-là. Quand je n’en pouvais plus, Sophie, avec ses mots, sa bouche ou ses mains, trouvait quand même une braise de désir, et l’attisait. Moi, je me lassais pas de son grand corps bâti pour l’amour. C’est encore sa bouche qui m’a réveillé le matin. Le jour filtrait à travers les persiennes. Quand elle a jugé le premier résultat ...
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