1. Toilettage


    Datte: 28/05/2018, Catégories: ff, douche, fsoumise, noculotte, fgode, fdanus, sm, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... disposées côte à côte sur le mur du fond, face à l’entrée. L’une était discrètement décorée d’une rose en porcelaine, l’autre d’une image de cascade.
    
    — Je suppose qu’une halte ici n’est pas nécessaire, murmura ma guide en évoquant de la main les cuvettes, mais si vous souhaitiez vous retirer un moment… ajouta-t-elle en désignant la porte à la rose.
    — Merci, Mademoiselle, balbutiai-je, étonnée par sa délicatesse, mais en effet mon seul besoin est de me débarbouiller, au moins sommairement.
    — Nous sommes là pour cela, Madame, sourit-elle en tirant une petite clé de son corsage.
    
    Elle ouvrit la porte ornée d’une cascade et m’invita à pénétrer dans la cabine de douche. Cabine n’est pas exactement le mot qui convient : la pièce avait les dimensions d’une petite chambre. Deux, ou peut-être trois pommeaux surmontaient le sol strié d’un large bac à l’italienne. Les mitigeurs et les colonnes supportant les douchettes amovibles étaient posés sur un carrelage gris perle agrémenté de frises en mosaïque de verre noir et or, débordant confortablement sur les côtés. De sobres tapis de bain séparaient la partie douche de l’espace vestiaire doté de patères et d’étagères à serviettes entre les longues glaces qui renvoyaient la lumière d’une verrière.
    
    Je m’arrêtai sur le seuil, interloquée par une telle profusion de commodités dans un lieu généralement réduit à la portion congrue. La jeune vendeuse me poussa gentiment par les reins pour pénétrer à son tour et simplement ramener la ...
    ... porte derrière elle.
    
    — Une ancienne cuisine que notre patronne a fait aménager. Nos clientes aiment souvent venir se rafraîchir avant un essayage, ou parfois après, m’expliqua-t-elle avant d’ajouter : je n’en ai que pour un instant, en se dirigeant vers l’une des tablettes.
    
    Elle disposa rapidement à portée de main un flacon de gel, un gant de crin et une éponge dont elle s’assura de l’élasticité tandis que j’examinais les robinetteries dont les formes inhabituelles me rendaient difficile à comprendre le fonctionnement. Elle sourit en devinant mon désarroi.
    
    — De l’appareillage allemand, m’informa-t-elle ; il paraît que là-bas on est très au point sur le confort dans ce domaine. Mais ne vous inquiétez pas, je vais m’en occuper.
    — C’est très aimable à vous, Mademoiselle, euh, Mademoiselle… ? Si je peux vous appeler par votre prénom, répondis-je pour faire diversion sur mon ignorance, mais en pensant en fait « ai-je le droit ? »
    — Mély, pour vous servir, Madame. Mon vrai prénom est Mélanie, mais ici… rit-elle, puis elle enchaîna tout uniment : si vous permettez, Colette ?
    
    J’allais lui dire qu’elle pouvait en effet se passer du « Madame » quand je la vis se dévêtir entièrement. Ce fut en fait très rapide : elle se dégagea de ses escarpins, dégrafa son corsage et le quitta en faisant glisser sa longue jupe fendue, rien d’autre. Elle était nue, de façon très naturelle, se mouvant sans affectation pour m’installer dans les douches. Mon air ahuri l’amusa.
    
    — Il me serait ...
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