Linda, la fille a Marie
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
... ? On s’entre-tue ou on se le partage ?
Marie disait cela en éloignant Linda de sa poitrine et en la tenant à bout de bras, pour bien la regarder dans les yeux. Ni dans ses yeux, ni dans le sourire lumineux qu’elle avait sur les lèvres, il n’y avait pas le moindre signe d’animosité. De la place où je me tenais, je pouvais les voir toutes les deux : Linda était beaucoup plus émue que sa maman ; elle avait les larmes aux yeux et un petit sourire triste. Je pensais qu’elle se sentait coupable et qu’elle était reconnaissante envers sa mère qui non seulement lui pardonnait, mais qui était prête à partager son amour avec elle.
Linda embrassa tendrement sa maman et, en essuyant ses larmes, elle lui dit :
- Tout ce que tu décideras, je l’accepterai. Y compris, la chose qui me rendra vraiment malheureuse : quitter Rafik.
- Il n’en est pas question ! Il nous appartient à toutes les deux.
Elles étaient en train de me partager entre elles, sans même jeter un regard de mon côté. Moi, j’étais là debout et silencieux à l’entrée du salon, me faisant tout petit pour ne pas déranger l’immense harmonie qui venait de s’installer entre la mère et la fille. Elles se faisaient face et s’échangeaient des sourires éclatants : elles paraissaient si heureuses de s’être réconciliées. Elles se retournèrent brusquement, et en même temps, vers moi pour me faire signe d’approcher.
Je les rejoignis d’un pas hésitant. Malika me prit par la main et m’amena vers le sofa ; elle me demanda de ...
... m’assoir. Elle s’assit à ma droite et Linda vint se mettre à ma gauche. Chacune me prit une main. Malika déposa un léger baiser sur celle qu’elle tenait et me dit, d’une voix, douce mais ferme :
- Voilà ce que nous avons décidé : tu vivras avec Linda et tu la rendras heureuse. D’un autre côté, tu es aussi condamné à me donner ma part de bonheur, même si ce n’est pas dans les mêmes proportions que Linda. Je n’ai pas autant de temps libre que ma fille : je travaille et j’ai des responsabilités familiales. Je n’ai donc pas beaucoup de temps à te consacrer, à moins d’abandonner mon cabinet. Je voudrai que tu viennes, une ou deux fois par semaine, en fin d’après-midi, me rendre visite au cabinet. Je voudrai que pendant ces courts moments tu m’aimes très fort, tellement fort que le peu de temps que tu m’accorderas me suffira pour tenir jusqu’à la prochaines rencontre.
- Qu’en dis-tu ?
Je ne savais quoi dire. J’étais KO debout. Non pas que je voyais un inconvénient quelconque à ce qu’elles avaient décidé, sans même se concerter. Je trouvais cela génial : deux merveilleuses créatures pour moi tout seul, il ne pouvait pas y avoir un plus beau cadeau pour mon ego et ma libido. C’était la garantie de séances amoureuses torrides et d’orgasmes exceptionnels à la chaîne.
C’était la manière dont les choses se passaient et se décidaient en dehors de moi, qui m’interpellais. La situation semblait s’être totalement retournée : Initialement c’étaient-elles qui étaient mes choses (je ...