Linda, la fille a Marie
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
... Sûrement ! De la honte ? Peut-être ! (J’avais toujours clamé tout haut ma réprobation de la polygamie). De la curiosité ? Probablement ! (En effet, je me posai la question de savoir comment concrètement les choses pouvaient se passer). Du bonheur de n’avoir pas à me séparer de l’une d’entre elle ? Certainement !
J’en étais là à cogiter, assis sagement à côté de ma belle, sur le grand sofa du salon, quand, environ une heure plus tard, la sonnette de la porte retentit. J’allai ouvrir, le cœur battant la chamade, et me trouvai face à face avec Marie. Ma Marie ! Elle était égale à elle-même. Elle avait un sourire resplendissant et ne semblait pas être en colère. Elle portait à son bras gauche un grand sachet portant la marque d’un grand magasin français. Elle apportait les vêtements que Linda lui avait demandé de ramener.
- Bonjour mon amour, dit-elle en m’adressant un superbe sourire et en posant ses lèvres sur les miennes pour un léger baiser plein de tendresse.
J’étais estomaqué de la voir d’aussi bonne humeur et prendre les choses aussi bien. D’un autre côté, j’en étais heureux. Cela m’évitait une scène de jalousie insupportable et me permettait de garder mes deux amours, avec l’accord de chacune d’elles. Parce qu’en revoyant Marie, tout l’amour que je lui portais et que je pensais estomper à la suite de ma relation avec sa fille, était remonté en surface. J’étais parfaitement incapable de choisir entre l’une et l’autre. La beauté et la sensualité de Marie m’étaient ...
... réapparues dans toute leur splendeur. Celles de Linda n’avaient pas eu le temps de quitter ma mémoire. J’aurais été très malheureux de me séparer de l’une ou de l’autre.
Elle pénétra dans l’appartement et se dirigea directement vers le salon où Linda était restée. Elles se toisèrent un long moment en silence. Puis Marie ouvrit les bras et, par ce geste, invita sa fille à venir s’y blottir. Celle-ci se leva d’un bond et courut se blottir entre les bras de sa maman. Elle la serra très fort, en la couvrant de baisers sur les joues et le front, en lui murmurant à l’oreille qu’elle l’aimait très fort. Linda, émue aux larmes, se blottit encore plus fort entre les bras de sa mère et pleura silencieusement.
- Pardon maman ! Pardon ! Je t’aime moi aussi très fort ! Cet homme m’a rendue folle ! Tu sais que je n’aurai jamais cafté à papa ! Mais je voulais tant connaître un peu de ce bonheur que je t’avais vu vivre quand je vous avais surpris au cabinet. C’est encore pire maintenant ! Car, après ces trois journées passées dans ses bras, je suis tombée amoureuse de lui ! Je serais malheureuse de le quitter, même si c’est pour te le rendre!
- Je sais ma fille ; et je ne t’en veux pas. Je suis un peu jalouse, car moi aussi je l’aime et je ne peux pas non plus me passer de lui. Tu as l’air tellement épanouie, après seulement trois journées passées avec lui : cela ne m’étonne pas de ce diable d’homme ; il a le don de rendre heureuses les femmes qui s’offrent à lui ! Que faisons-nous ...