Linda, la fille a Marie
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
... tant de grâce, qu’on aurait dit qu’elle avait été taillée exprès pour elle. Elle était si belle dans cette veste ! Et si sensuelle avec ses seins qui pointaient sous le tissu, ses jambes nues jusqu’à mi-cuisses et ses fesses qui se dévoilaient chaque fois qu’elle se penchait ou faisait un mouvement brusque. Elle avait enlevé, une fois pour toutes, sa culotte et, tout le temps qu’elle resta avec moi, sa chatte était restée nue sous la veste.
Le matin du quatrième jour, Linda me fit remarquer que Marie était restée silencieuse et qu’elle n’avait même pas téléphoné pour prendre des nouvelles.
- Je crois qu’elle boude ! dit-elle. Elle doit être jalouse et en colère. Tu devrais l’appeler.
- Pour lui dire quoi ? J’ai vraiment peur de sa réaction. Si je lui dis que tout s’est bien passé et qu’entre nous c’est le grand amour, j’ai peur de la blesser. Si je lui dis le contraire, elle saura très vite que je lui mens.
Lâchement, je voulais que ça soit Linda qui l’appelle et qui lui parle. J’étais convaincu qu’elle saurait mieux que moi arrondir les angles et recoller les morceaux avec sa maman. Nous en étions là dans la discussion, quand le téléphone se mit à sonner. C’était Marie qui appelait.
- Allo ! Rafik ?
- Oui ! Répondis-je d’une voix mal assurée et tremblante.
- C’est Meriem ! (la voix était normale ; elle ne semblait être ni en colère, ni abattue). Comment ça va ? Linda est toujours avec toi ?
- Oui !
- Passe-la moi ! Allo Linda, alors tu as eu ce ...
... que tu voulais ? Et maintenant qu’allons-nous faire ?
- Viens et ramène moi de quoi m’habiller, lui dit-elle d’une voix assurée (et peut-être un peu provocatrice). Je dois partir à l’université ; j’ai raté beaucoup trop de cours. Nous parlerons quand tu arriveras.
Et sans autre forme de procès, elle raccrocha et éteignit le téléphone.
- Comme cela, elle sera bien obligée de venir ! dit-elle, pour expliquer son geste de raccrocher au nez de sa maman. Je veux qu’elle vienne pour que nous parlions tous les trois. Il faut bien trouver une solution acceptable à notre situation. Nous te voulons toutes les deux et toi aussi tu nous veux toutes les deux. Et comme, il n’est pas question, pour moi du moins, de faire l’amour à trois, il faut que nous planifiions la suite de l’histoire et que nous délimitions nos territoires.
Merveilleuse Linda qui prenait les choses en main et était décidée à nous imposer sa solution, à sa mère et à moi, qui avions chacun plus de deux fois son âge ! D’après ce que j’avais compris, Linda se réservait de passer les nuits avec moi (elle semblait décidée à venir s’installer avec moi) et laissait les matinées et/ou les après-midi, à sa mère (quand celle-ci pouvait se libérer de son travail). Cela me faisait penser à ces polygames qui planifiaient et répartissaient le temps qu’ils devaient passer avec chacune de leurs épouses, de manière à ne léser aucune d’entre elles. J’étais incapable de définir l’effet que la situation me faisait : de la gêne ? ...