Linda, la fille a Marie
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
... comportement, je le ferai ave joie. Si elle, elle veut de moi comme deuxième maîtresse de son amant, et bien je ne peux qu’être d’accord.
- Et mon avis à moi, il ne compte pas pour vous deux ? Elle aussi m’avait parlé de me partager avec toi.
- Non toi ton avis ne compte pas ! Tu aimes maman, cela j’en suis sûre. Tu m’aimes aussi, cela aussi j’en suis sûre. Maman t’aime comme une folle ; je l’ai remarqué en voyant son immense bonheur quand elle fait l’amour avec toi. Un ménage à trois est donc ce qui nous convient à tous.
- Tu as oublié ton père !
- Oh lui, il ne compte pas. Il ne pense qu’à l’argent. Il aime maman à sa manière, mais il n’est pas homme à rendre heureux une femme en l’aimant comme une femme. Pour lui son épouse n’est en fait que la mère de ses enfants. Je ne sais même pas s’il lui fait encore l’amour. Et si c’est le cas, je ne suis pas sûr qu’il sache vraiment ce que c’est que faire l’amour à une femme. C’est mon père et je l’aime ; mais ce n’est certainement pas l’amant qu’il faut à une femme aussi sensuelle que maman. Je ne suis donc pas scandalisée qu’elle le trompe avec toi. J’en suis même heureuse.
Nous passâmes encore toute la journée et la nuit qui suivit ensemble à faire comme si c’était notre lune de miel. Et c’était vraiment notre lune de miel. Nous ne sortîmes pas (sauf moi quelques instants pour approvisionner le frigo qui s’était totalement vidé) et passâmes notre temps entre le lit - la majorité du temps - la cuisine pour nous ...
... sustenter et la salle de bain pour nous décrasser et nous délasser dans des bains bien chauds. Nous étions heureux comme de vrais nouveaux mariés.
Nous avons fait l’amour un nombre incalculable de fois. Dans tous les endroits de l’appartement et dans toutes les positions. Linda confirma toutes ses capacités érotiques et me montra en trois jours pleins, qu’elle était la digne fille de sa mère. Elle ne me refusa jamais rien ; pas même ce qui ne lui plaisait pas. Comme la sodomisation que moi j’adorais, que sa maman avait fini par aimer et demander, mais qu’elle, elle n’était jamais parvenue à apprécier, certainement à cause de la douleur qui l’accompagnait du fait du gabarit hors normes de mon sexe.
Elle m’avait offert son cul pour la première fois, le lendemain de notre rencontre ; la séance avait été très douloureuse. Elle cria tout le temps que je la pinais (avec force et v******e, peut-être parce qu’inconsciemment, je voulais lui faire sentir que j’étais son maître et qu’elle m’appartenait corps et âme) mais cela ne l’empêcha pas de me lancer un sourire lumineux après l’acte, comme pour me dire qu’elle acceptait tout ce qui venait de moi. Même si elle détestait, c’était elle qui me demandait, assez souvent, de l’enculer, sachant que moi j’hésitais à le faire. Cela me la rendait encore plus chère.
Linda, qui n’avait apporté aucun vêtement de rechange, s’était vêtue pendant ces journées d’une veste d’un de mes pyjamas, trop grande pour elle, mais qu’elle portait avec ...