1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... complexer ! Je mange comme une ogresse, je sais ! Mais rassure-toi, cella ne me fait pas grossir !
    
    - Mange ma grande, autant que tu veux, autant que tu peux ! Tout ce que tu mangeras ce soir, tu le perdras dans les ébats qui nous attendent ! Je n’ai pas l’intention d’en rester là !
    
    - Moi non plus ! Dit-elle d’une voix moqueuse et pleine de malice.
    
    Nous terminâmes de manger assez rapidement. Je préparai un thé à la menthe et au citron (ma spécialité !) bien sucré et nous allâmes le déguster dans le grand salon. Tout en flirtant gentiment. Nous n’étions plus aussi affamés d’amour que quelques heures auparavant. Nos sens étaient apaisés et nos corps prenaient un peu de repos avant d’entamer le round prochain. Elle se blottit dans mes bras et m’écouta parler de choses et d’autres, sans réelle importance ; uniquement pour la bercer et ne pas la laisser replonger dans ses pensées noires. Je lui dis que la vie est belle ; qu’il suffit d’un peu de bonne volonté et de courage pour surmonter les problèmes ; qu’il y a toujours dans la vie quelqu’un sur qui elle pourra compter pour l’épauler et lui faire traverser les mauvais moments de la meilleure façon possible. Que rien ne vaut l’amour pour se couper des mauvaises choses de la vie. Etc. Un peu de philosophie au rabais n’avait jamais fait de mal à personne ! Et si elle pouvait apporter un peu de réconfort, c’est du tout bénéfice !
    
    Elle se serra très fort contre moi et me remercia pour ces mots d’encouragement. Jusqu’à ...
    ... maintenant elle s’était battue toute seule ; même ses parents n’avaient pas été d’une grande aide pour elle. Ils l’avaient accueillie à contre cœur, quand elle avait fui son mari. Pour eux, c’était elle la fautive ; il fallait qu’elle supporte les travers de son mari ; il aurait fini par s’arranger. Et puis n’est-ce pas le lot des femmes de souffrir et supporter jusqu’à ce que, Dieu, dans sa grande miséricorde, prenne les choses en main et règle les problèmes ? Ils lui reprochaient surtout de n’avoir pas fait d’enfants : il n’y avait que cela, prétendaient-ils, qui aurait pu le calmer et le ramener à la raison.
    
    - Je sais que toi, tu me comprends et que je pourrais avoir ton écoute chaque fois que j’en aurais besoin. Je t’en remercie par avance.
    
    Elle avait posé sa tête sur mes cuisses et se reposait ainsi tout en me parlant de sa vie et surtout des ses envies pour le futur, quand elle aura obtenu le divorce, quand elle sera libre de rêver à une vie meilleure. Je lui caressais la tête sous son foulard doucement, tendrement. Et puis une envie soudaine me prit de lui enlever le tissu qui tenait prisonnière sa chevelure. Ma main maladroite allait à la recherche du mécanisme qui tenait le foulard. Il s’agissait d’une broche en or, placée sur le côté droit des sa tête, qui tenait tout l’assemblage. J’essayais vainement de la dégrafer ; elle avait un mécanisme compliqué, que mes mains impatientes risquaient de casser. Elle se substitua à moi, et tout en se relevant pour être en ...
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