1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... provoquaient chez Farida des petits cris de plaisir qui allaient crescendo. Sa respiration devint de plus en plus courte ; ses hanches se soulevaient et se rabaissaient au rythme des mes va-et-vient endiablés. Sa tête allait de droite à gauche et de gauche à droite dans un mouvement qu’elle n’arrivait pas à contrôler. Je la sentais sortir de son corps et aller planer au dessus de nous ; le bonheur se lisait dans sa manière de jouir, sans retenue, aucune ! Elle criait des mots de plaisir, souvent incompréhensibles qui ajoutaient à mon excitation.
    
    - C’est bon ! Il est gros ! Il est énorme ! Il me remplit totalement la chatte ! C’est bon ! Baise-moi encore ! On ne va pas s’arrêter là ! On recommencera toute la nuit ! Tire-moi ! Tire-moi ! Je suis une salope ! J’aime le zob ! J’adore le zob ! Je vais jouir ! Je suis au ciel ! Je vais décharger ! »
    
    Et effectivement elle déchargea violemment, en hurlant que c’était merveilleux de jouir. Son vagin se serra encore plus sur mon membre qui n’en pouvait plus. Encore un aller-retour et je poussai un hurlement de fin du monde. Mon sexe éclata soudain en envoyant une énorme giclée de foutre brûlant au fond de son vagin. Mes gémissements de plaisir se mêlaient aux siens. Nous nous regardons émerveillés entrain de jouir comme des bêtes ; mes yeux étaient exorbités; une abondante salive coulait de ma bouche et allait se déposer sur son ventre; un sourire de béatitude ornait mes lèvres. Elle n’était pas plus en meilleur état que moi : ...
    ... elle bavait aussi ; de la salive coulait le long des sa joue droite et allait s’enfoncer sous le tissus du foulard. Je rapprochais mon visage du sien et allait cueillir cette salive sur sa joue et sur sa bouche ouverte. Je restai longtemps ainsi, mon sexe calmé encore à l’intérieur de sa chatte, mon regard plongé dans le sien qui me renvoyait l’image d’une femme heureuse et reconnaissante d’avoir autant joui.
    
    - Je t’aime !» me dit-elle presque timidement.
    
    - Je t’adore ! » lui répondis-je.
    
    Et j’étais sincère ! De la même manière qu’elle était sincère. C’est réellement un sentiment d’amour qui nous unissait à ce moment là ! Nous étions faits l’un pour l’autre. Notre étreinte l’avait prouvé. Nous nous séparâmes à regret. Elle mit un peu d’ordre dans sa tenue et vint me donner un baiser furtif en me disant qu’elle avait faim. Après m’être légèrement débarbouillé, je me remis aux fourneaux, alors qu’elle alla se refaire une beauté dans la salle de bain. Quand elle revint elle était exactement comme auparavant ; on aurait dit qu’il ne s’était rien passé. J’avais terminé de préparer les frites, les steaks et la salade et posait le tout sur la table de la cuisine, que j’avais auparavant nettoyée des souillures des nos ébats amoureux. Nous mangeâmes avec appétit ; plus elle que moi. Elle mangeait avec un appétit qui faisait plaisir à regarder.
    
    - Tu m’as épuisée ! me dit-elle avec une petite voix coquine ; cela m’a donné très faim ! Ne me regarde pas comme cela, tu vas me ...
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