1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... position assise, enleva la broche en un tour de main. Elle prit le bout du foulard et d’un seul coup, elle l’enleva de sa tête. Une magnifique chevelure, abondante et lourde, de couleur châtain très foncé avec des reflets rouges, se déploya sur ses épaules. Elle eut un léger mouvement de tête pour y mettre de l’ordre et se mit à genoux en face de moi pour se faire admirer.
    
    - C’est scandaleux de cacher tant de grâce ! lui reprochai-je. Je suis sûr que tout le reste est du même acabit ! Enlève ta gandourah et montre-toi au naturel ! Fais le tout de suite, sinon je vais m’en charger ! Et tu sais combien je suis adroit pour ces choses là ! Tu risques de te retrouver toute nue, avec ta gandourah et le reste des tes habits complètement déchirés et chiffonnés !
    
    Elle ne se fit pas prier longtemps. En un tour de main, elle fit passer sa longue gandourah par-dessus la tête et se retrouva avec une espèce de longue jupe noire très moulante, faite d’un tissu très léger et très doux qui laissait deviner les formes splendides de ses longues jambes et cuisses et donnait un aperçu de la forme arrondie, bombée et ferme de son fessier. En haut elle portait un chemisier noir, fait du même tissu que la jupe; il avait du mal à contenir sa généreuse poitrine et ses nichons qui avaient tendance à pousser vers l’avant pour sortir du soutien gorge à balconnets qui les retenait. C’était vraiment une magnifique plante : plantureuse et sensuelle à souhait.
    
    Je tendis les bras pour la serrer ...
    ... contre moi.
    
    - Tu es magnifique ! lui dis-je en lui caressant les cheveux. Tu es une vraie bombe sexuelle ! Je comprends ton mari qui veut te garder rien que pour lui ! Je crois sincèrement que personne ne peut te regarder et rester serein ! Pas un homme qui n’ait envie de te tirer ! Tu ne m’en veux pas de te dire les choses comme cela ?
    
    - Non, j’en ai pris l’habitude. Dans ma jeunesse, j’en ai entendu des vertes et des pas mûres sur mon cul, mes cuisses, mes genoux et même ma bouche. Jamais un mot gentil ; rien que des remarques de chiens en rut. Cela va beaucoup mieux depuis que je m’habille comme cela ; et je ne crois pas que je vais changer de manière de m’habiller. C’est commode et protecteur.
    
    - Même moi tu me fais bander ! lui dis-je en riant et la prenant par la main pour l’emmener dans la chambre.
    
    Elle me suivit en riant. Je commençai à lui déboutonner le chemisier de soie noir qu’elle portait encore et découvrit sa plantureuse poitrine avec les gros seins magnifiques qui s’y cachaient. Je les pris à pleines mains en les pétrissant un peu. Je n’arrivais pas à enfermer un des ses seins dans une seule main, il m’échappait tout le temps. Leur fermeté n’avait d’égal que leur volume. Sortis du soutien gorge à balconnets, ils dardaient fièrement vers l’avant, appelant avec insistance les caresses et les baisers. Je les palpai, parfois avec brutalité, pour tester leur fermeté ; je m’en pris ensuite à ses tétons, volumineux eux aussi, que je pris entre trois doigts pour ...
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