Du beurre dans les épinards
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
prost,
Collègues / Travail
soubrette,
Oral
pénétratio,
Auteur: Joséphine, Source: Revebebe
... pas.
Il réclama mon cul, je lui offris mon cul et, quelques jeux "uro" plus loin, j’acceptai même d’être attachée et fouettée, d’être sa parfaite soumise. Du moment qu’il me payait, j’étais désormais prête à satisfaire ses moindres caprices.
Plus j’avais d’argent et plus j’en désirais, je ne pouvais désormais plus revenir en arrière. L’étape suivante fut pour moi de demander à cet homme si, par hasard, il n’aurait pas quelques amis qui auraient besoin, eux aussi, de mes services. Non seulement il me fournit des noms, mais il me proposa en plus d’organiser chez lui une après-midi coquine pour me faire connaître. J’en fus enchantée et m’arrangeai pour qu’aucun de ses invités ne soit déçu. Il en allait pour moi de mon avenir (professionnel, devrais-je dire). Non seulement ils me baisèrent tous les quatre une après-midi durant, mais ses copains furent probablement séduits par mes prestations puisqu’ils m’invitèrent tous par la suite pour des rencontres coquines, chez eux ou à l’hôtel.
Désormais, avec ces quatre clients, j’ai largement de quoi subvenir à mes besoins, et je peux m’offrir tout ce que je souhaite. Il m’arrive néanmoins, ...
... de temps en temps, de faire aussi quelques petits extras.
Mon mari ne se doute bien entendu de rien. Je lui ai simplement dit que je travaillais maintenant chez diverses personnes, cela me permet de justifier mes rentrées d’argent, qui ne sont après tout pas pour lui déplaire, cela me permet aussi d’expliquer que je suis parfois très fatiguée lorsque je rentre le soir, après une dure journée de labeur. Par ailleurs, j’ai quand même pris mes précautions, je me suis ouvert un compte à part où je place mes économies pour me constituer un petit pécule, une assurance, si jamais je divorce…
Je me sens beaucoup plus sûre de moi, beaucoup plus confiante aussi dans l’avenir, depuis que je me prostitue. Parfois, pour plaisanter, je me dis que si un jour je suis à la rue je pourrais toujours faire le tour des maisons de retraite. Alors qu’il y a quelques mois je voyais tout en noir.
La seule chose qui me manque, c’est une amie à qui me confier et avec qui partager mes joies et mes doutes, une mère de famille qui, tout comme moi, a choisi de vendre son corps pour arriver à joindre les deux bouts. Je ne pense pas être la seule dans mon cas.