1. Du beurre dans les épinards


    Datte: 24/01/2018, Catégories: fh, hplusag, hagé, prost, Collègues / Travail soubrette, Oral pénétratio, Auteur: Joséphine, Source: Revebebe

    ... manger tout le temps des nouilles, me serrer la ceinture, me refuser le moindre petit plaisir, j’avais envie de profiter de la vie !
    
    Il ne s’agissait, après tout, que de satisfaire quelques rares désirs d’un vieux papi lubrique, rien à voir avec faire le tapin ou même la call-girl. Pour moi qui avais tellement besoin d’argent pour satisfaire toutes mes petites envies, l’occasion était vraiment inespérée et à ne pas rater. Dans mon esprit, cela ne devait en plus pas aller bien loin. Je ne pensais même pas que cela irait jusqu’à faire l’amour. À cet âge-là, les désirs devaient être quand même moins vivaces qu’à l’âge de mon mari…
    
    — Je tiens à m’excuser pour ce que je vous ai dit hier, a-t-il lancé dès mon arrivée ce matin-là, un peu penaud, semble-t-il.
    
    Mais, contre toute attente, j’ai répliqué :
    
    — C’est moi qui ai agi comme une sotte. Expliquez-moi donc ce qu’il faudrait que je fasse pour vous satisfaire.
    
    Que voulait-il donc, ce vieux cochon ? Me voir toute nue ? Me toucher ?
    
    Il m’a alors longuement regardée, comme pour me sonder. Visiblement, il n’en croyait pas ses oreilles. Ma réaction inattendue le laissait assez perplexe. Je crois qu’il avait un peu bluffé en me faisant sa première demande, et qu’il n’avait pas imaginé une seule seconde que je puisse y répondre positivement.
    
    Gênée par cette attitude ridiculement passive, j’ai alors insisté :
    
    — Allez-y, Roger, ne tournez pas autour du pot, demandez-moi carrément ce que vous voulez et l’on verra si ...
    ... l’on peut s’entendre. Je vous l’ai dit : je suis d’accord pour vous être agréable. Vous voulez d’abord voir la marchandise ? Ça vous dirait de me voir toute nue ?
    
    J’avais essayé de parler comme une vraie pro. Sans me démonter, et pour lui prouver toute ma bonne foi, j’ai commencé à me déshabiller très lentement et à lui faire un petit strip-tease, en plein milieu du salon. Le vieil homme semblait émerveillé par cet effeuillage. Je me suis retrouvée presque entièrement nue, avec juste mes mi-bas et mes chaussures. Le vieux Roger ne perdait pas une miette de mon anatomie et m’auscultait sous toutes les coutures.
    
    — Alors, je vous plais ?
    — Énormément, a-t-il répondu avec des yeux exorbités.
    
    Il avait du mal à avaler sa salive, il frisait la crise d’apoplexie. Maintenant qu’il s’était bien rincé l’œil, j’attendais sa proposition concrète :
    
    — Alors, que voulez-vous, monsieur Roger ?
    — Une petite pipe. Je te donne cinquante euros si tu me fais une petite pipe, et le double si tu m’autorises à te baiser.
    
    Je n’avais pas imaginé tel scénario. Ainsi, à 70 ans, Roger était encore vaillant. Il entreprit de dégrafer sa braguette et en sortit un membre noueux, déjà à moitié dur, et qui me sembla, sur le coup, d’une grosseur impressionnante.
    
    — Regarde dans quel état tu m’as mis. Allez, viens ici, viens y goûter, ma drôlesse, et je te promets d’être très généreux.
    
    Avait-il des préservatifs au moins ? Oui, il avait ce qu’il fallait. Il courut en chercher une boîte dans la ...