1. Du beurre dans les épinards


    Datte: 24/01/2018, Catégories: fh, hplusag, hagé, prost, Collègues / Travail soubrette, Oral pénétratio, Auteur: Joséphine, Source: Revebebe

    Quand je repense à ce que je fais, j’ai parfois un peu honte de moi, mais la plupart du temps je dois avouer que je suis, au contraire, extrêmement excitée. Et je me caresse de plus en plus souvent, le matin, lorsque mon mari est parti, dans mon lit ou sous ma douche, en fermant les yeux pour savourer mon état de dépravation.
    
    Petite brune aux yeux verts, je me suis mariée il y a de ça cinq ans avec un jeune homme de mon âge. J’étais enceinte de lui et nous avons très rapidement eu une petite fille. Nous formons ce qu’il est convenu d’appeler une belle petite famille. Nous nous aimons, nous nous entendons bien, je crois que nous sommes très heureux. Tout pourrait aller pour le mieux, si ce n’était ces soucis d’argent qui ne cessent de nous gâcher la vie. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je me suis mise en quête d’un travail.
    
    Je n’avais pas fait de grandes études, et tout ce que j’ai pu trouver rapidement, c’est ce petit job d’aide aux personnes âgées. C’était ça ou garder des mouflets : or j’ai horreur de m’occuper des gamins des autres.
    
    C’est ainsi que je me suis retrouvée à aller plusieurs fois par jour chez ce petit papi qui habite à deux pas de chez nous. Au début, tout se passait très bien, je faisais ses courses, son ménage, je préparais ses repas. Sa femme était hospitalisée depuis plusieurs semaines et il était incapable de se débrouiller tout seul, c’est typiquement le genre d’homme qui est totalement perdu sans son épouse.
    
    À 70 ans, Roger était ...
    ... encore alerte et bien conservé. Il ne tarissait jamais d’éloges à mon égard. J’étais pour lui le prototype de la femme parfaite, belle, dynamique, souriante, il me trouvait pleine de qualités.
    
    — Ah, si j’avais quarante ans de moins ! ajoutait-il parfois, pour me taquiner.
    
    Évidemment, il connaissait tout de mes soucis d’argent, c’était un peu mon confesseur.
    
    Jusqu’au jour où…
    
    J’étais peut-être un peu plus fragile, ce matin-là. Il en profita lâchement, et ses propositions se firent soudain beaucoup plus précises :
    
    — Vous savez, Joséphine, j’ai quelques économies. Et, si vous étiez un peu plus gentille avec moi, je serais tout disposé à vous en faire profiter.
    
    Prenant cela comme une plaisanterie, j’ai aussitôt rétorqué :
    
    — Oh, vous savez, monsieur Roger, il me semble être déjà très, très gentille avec vous.
    — Je pensais à une gentillesse un peu plus sensuelle, Joséphine, un peu plus sexuelle aussi, si vous voyez ce que je veux dire, répondit-il sans se démonter.
    
    Tout d’abord irritée par cette proposition indécente, je sortis de chez lui en claquant la porte, convaincue qu’il ne me reverrait pas de si tôt. Pour qui me prenait-il ? Pour une fille facile ? Pour une catin ? Pour une putain ?
    
    Mais, la nuit portant conseil, je suis malgré tout retournée à son domicile dès le lendemain matin, après avoir cogité des heures durant… Les traites de la maison, le crédit pour la voiture, les frais pour la petite, j’en avais vraiment marre de cette vie miséreuse : ...
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