1. Saga de Chloé/Elina 7 : le foyer de travailleur (1)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Elina, Source: Hds

    ... hummmm…. » de plaisir.
    
    Au cours d’un changement, un homme essaie de m’enlever mon tee-shirt mais comme cela ne va pas assez vite, il le déchire et fait de même avec ma jupe et ma petite culotte. Comme je n’avais pas mis de brassière, je suis complètement nue et quand je reprends la position à genou pour pomper et masturber, je ne manque pas de laisser mes cuisses ouvertes pour que ceux qui le souhaitent viennent y mettre leurs mains.
    
    Un Africain décide que le temps de la branlette est terminé :
    
    - C’est bon, espèce de putain blanche, maintenant tu vas nous pomper le dard sérieusement l’un après l’autre jusqu’à ce que chacun d’entre nous se vide les bourses et te mette sa purée où il veut.
    
    Je commence.
    
    Sa queue est longue et large, il me l’enfonce profondément mais ses couilles ne tapent pas mon visage. J’essaie de relâcher ma gorge à chaque retour pour qu’il puisse aller plus loin et il finit par entrer son gourdin d’ébène en entier, bloquant ma respiration de longues secondes à chaque fois.
    
    Il appuie ma tête contre son ventre, je salive, je bave, je lui malaxe les bourses mais les mains qui s’introduisent qui dans mon con, qui dans mon cul, les mains qui maltraitent mes nibards font de moi une hystérique dépravée qui avalerait une bite de cheval pourvu que les caresses continuassent.
    
    Je sens qu’il n’est pas indifférent à ce traitement, il ne fait rien pour retarder le moment où dans un feulement rauque il m’envoie sa semence au fond de la gorge.
    
    Tous ...
    ... vont se suivre pour me baiser la bouche, pour que ma langue s’enroule autour de leur gland nacré, que mes mains expertes caressent tantôt doucement tantôt fermement leurs burnes poilues, pour que je pompe avec ardeur des boudins noirs, des boudins blancs, des monstruosités ou des appendices phalliques très modestes, des colosses en pleine virilité ou des attributs fatigués par les années.
    
    Tous se videront vite, preuve qu’ils sont en détresse sexuelle et que je suis, peut-être, une bonne pompeuse ; tous émettront des cris d’animaux en rut ; mais si certains si videront simplement au fond de ma bouche, d’autres, plus vicieux, éprouveront le besoin d’affirmer leur domination en me souillant de leur flot de foutre sur les seins, sur la gueule, dans les cheveux même.
    
    Quant à moi, en bonne bouffeuse de bites, j’avais pris soin de nettoyer chaque verge après usage, comme il se doit.
    
    Le black qui était passé la premier et qui parlait naturellement le français m’attire vers un canapé au fond de la pièce et m’invite à boire un verre tout en discutant de choses et autres.
    
    J’entends qu’il y a d’autres canapés dans la pièce : ce lieu doit être un lieu commun de rencontre, un lieu de vie.
    
    Chacun parle qui dans une langue qui dans une autre et je ne comprends que très peu des conversations autour de moi.
    
    Le verre contient un alcool fort que je n’identifie pas n’étant pas amatrice d’alcool car l’alcool de me réussit pas. Il me fait perdre tout contrôle de moi-même, m’excite ...
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