1. Saga de Chloé/Elina 7 : le foyer de travailleur (1)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Elina, Source: Hds

    ... au plus haut point et m’empêche d’accéder au plaisir suprême.
    
    J’essaie de ne pas boire mais plusieurs hommes se sont approchés et, comme dans un jeu, me font boire parce que cela fait partie de la prestation. Je finis donc le verre « cul sec » pour en finir plus rapidement sous les applaudissements de mes « clients » et de leurs rires. J’entends des bruits de verre : une autre tournée est resservie à chacun… dont moi ! Je ne m’en sortirai pas aussi facilement.
    
    L’Africain qui est assis à côté de moi entame la conversation tout en me doigtant agréablement la fente :
    
    - Mois c’est Amhadou. Dis-moi Elina, tu sembles être une gentille fille, comment en es-tu arrivée là ? Besoin d’argent ? Pas de famille ?
    
    Je ne pouvais pas répondre. Je ne le savais pas moi-même. J’avais une famille, je ne gagnais pas d’argent en faisant cela. Je n’y prenais même pas mon pied le plus souvent… J’avais juste besoin d’appartenir à l’Inaccessible, de faire ce qu’il attendait de moi et quand il y avait des hommes, n’importe quels hommes, naissait en moi une excitation à la limite de la folie qui me poussait inéluctablement à assouvir le moindre de leur désir dans l’attente d’un orgasme qui ne vient quasiment jamais car si j’aime être remplie par tous les trous, si j’aime être labourée en largeur et en profondeur, je suis une clitoridienne qui a besoin qu’on lui masse amoureusement le bourgeon pendant le fourrage. Autant dire que dans les dernières situations que j’ai vécues, cela ...
    ... n’advient jamais car aucun de tous ces hommes ne se soucie de mon plaisir. J’irais même jusqu’à croire que de conserver mon excitation intacte jusqu’au bout leur est, plus qu’indifférent, cela leur est profitable puisqu’à la recherche d’un plaisir qui ne vient jamais, je me démène et leur donne, à eux du plaisir.
    
    - C’est une longue histoire, lui répondis-je, dans un soupir.
    
    Il prend ma main et la pose sur sa queue qui a repris, après cette pause, toute son amplitude.
    
    - C’est pas le tout de causer, hein, ma jolie, on a payé pour quatre heures, alors il faudrait pas trop perdre de temps… Mets-toi là comme ça que j’te baise et avec ta gueule de pompeuse tu pourras aider ceux qui bande encore un peu mou…
    
    Ce faisant, il me met en levrette sur le canapé, de façon à ce que ceux qui le veulent puisse venir sur l’accoudoir se faire durcir le dard.
    
    Lui m’écarte bien les fesses et la chatte et introduit son énorme braquemart dans ma figue et commence à me tringler avec vigueur. Ses balloches tapent bruyamment sur mon cul. Il me tient par les épaules et j’aime la force qu’il met à me prendre comme si sa vie en dépendait.
    
    Je sais que les suivant n’auront pas tous cette énergie.
    
    Il cède sa place au suivant. Il écarte bien la raie et je devine au doigt qu’il pose sur ma rondelle qu’il va m’enculer. Ce qu’il fait sans plus de préavis, avec un dard long mais assez fin.
    
    - Ah ! J’s’savais bien qu’t’étais une sale vermine d’enculée toi ! J’l’ai vu tout d’suite à ta gueule ...
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