1. Saga de Chloé/Elina 7 : le foyer de travailleur (1)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Elina, Source: Hds

    ... longtemps, d’acc ?
    
    - D’accord, répondis-je, pensé-je que de toute façon je n’avais pas le choix.
    
    Nous entrons dans une pièce enfumée, à l’odeur de renfermé et de sueur. J’entends des discussions dans diverses langues qui me semblent être pour certaines arabes, africaines et slaves.
    
    J’entends ensuite le bruit de l’argent qui passe de main et en main jusqu’à ce Djamal me dise :
    
    - Tout est OK, c’est parti pour quatre heures…
    
    - Ce ne sont pas des tendres, ajoute Driss, mais tu ne risques rien, nous sommes de garde.
    
    Ainsi, ils vont voir tout ce qui me sera fait. Cela me trouble un peu.
    
    Une main m’attrape par le bras, puis une autre. Je passe de main en main. Petit à petit, les hommes se sont mis en cercle et me font passer de l’un à l’autre. Les mains se font progressivement permissives et glissent sous mes vêtements pour toucher ma poitrine, ma vulve, ma raie. Quelques doigts pénètrent ma bouche et s’essuient sur quelque partie de mon visage ou de mon corps.
    
    - Viens Madame, tu as l’air bonne pour la bite…
    
    - Elle me fait plus… la queue plus grosse que celle du mois dernier…
    
    - Viens là salope…
    
    - Non… Là poufiasse…
    
    - Chienne…
    
    Certains parlent bien le français, c’est le cas des maghrébins et de certains africains, d’autres ne connaissent que des mots choisis dans un certain lexique.
    
    Tantôt la danse est rapide et je manque perdre l’équilibre, tantôt un homme prend son temps pour bien toucher la marchandise.
    
    Derrière mon masque, toutes ...
    ... les mains qui touchent les parties érogènes de mon corps tandis que je passe d’un homme à l’autre font naître en moi une valse érotique qui met mes sens en émoi, humidifie ma chatte et fait poindre mon clitoris. Quand Chloé réfléchit à la situation dégradante, tous ces attouchements – car il ne s’agit pas de caresses en l’occurrence - font naitre la folie du désir en Elina.
    
    Puis vient le temps où l’un deux appuie sur ma tête pour me contrainte à m’agenouiller et j’entends les boucles de ceinturons se détacher et les pantalons tomber à terre.
    
    Deux mains me prennent par le menton et m’intiment un ordre dans une langue que je ne comprends pas mais, instinctivement, parce que j’en ai follement en envie, j’ouvre grand la bouche et, de fait, un sexe d’homme remplit toute ma cavité buccale et la burine.
    
    On m’a attrapé les deux mains pour que je branle les deux mecs qui sont à côté. Je m’efforce de bien coordonner mes mouvements et les bites sont bientôt très dures.
    
    Après deux ou trois minutes, on me déplace et je gobe à nouveau une queue tandis que j’en branle deux et je les faire durcir durant quelques minutes.
    
    L’hygiène des chibres n’est pas de première fraicheur, mon nez et même ma langue repèrent des odeurs et des goûts forts d’urine, de sperme sec, de sueur mais passés les premiers hauts le cœur, je m’accoutume.
    
    Durant ce temps, des mains viennent par derrière sous mon tee-shirt me malaxer les seins et me pincer les mamelons. Tout en suçant, je pousse des « ...
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