Pauline
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hplusag,
vacances,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
init,
prememois,
fbi,
Auteur: Azkinato, Source: Revebebe
... ans…
Lorsque la deuxième bouteille fut débouchée, elle sortit une cigarette un peu bizarre ; en fait, un joint. Comme je lui faisais remarquer que la drogue ce n’était pas bien, elle me lança :
— Qu’est ce que tu es ringard ! Tous les jeunes fument aujourd’hui ; et puis, ne me dis pas que tu n’as jamais essayé.
— Eh bien non, jamais !
— Eh bien, c’est l’occasion.
En temps normal, je le lui aurais pris des mains et éparpillé au sol. Mais là, sur mon petit nuage avec le champagne – et pour lui faire plaisir pour ses 18 ans – j’acceptai de « tirer un taf ». Lorsqu’il passa une deuxième fois, et sur l’insistance de ma filleule, je recommençai. Lorsqu’il fut fini, il était passé plus souvent vers moi que vers les filles. Cette fois-ci, c’était un véritable cumulonimbus qui me soutenait.
Je pensais Pauline calmée avec ses histoires de virginité ; mais c’était sans compter sur sa persévérance. Elle m’attaqua d’une autre manière.
— Qu’est ce que tu penses des seins de Charlotte ? Ils sont beaux, n’est-ce-pas ?
Je ne répondis pas, mais ne les quittais pas des yeux. Voyant cela, Pauline les caressa tendrement ; son amie se laissait faire sans rien dire. J’avais déjà remarqué que cette dernière acceptait – ou subissait – tout ce que Pauline lui faisait. Dans leur relation d’amitié, Pauline commandait, et Charlotte obéissait.
— Elle aimerait que tu les embrasses. N’est-ce-pas Charlotte ?
Comme nous étions tous à moitié allongés, Charlotte n’eut pas beaucoup à ...
... bouger pour amener sa poitrine jusqu’à ma bouche.
Mû par un reflexe masculin, et surtout pas trop dans mon état normal pour me rendre compte qu’elle n’était qu’une gamine, je les embrassai aussi tendrement que possible. Je sentis qu’une main s’insinuait dans mon boxer sans me rendre compte que c’était celle de ma filleule.
Lorsque je repris mes esprits, c’était le matin ; nous étions tous les trois entièrement nus dans mon lit, et Pauline me regardait en souriant.
— Merci, parrain : tu as fais de moi une femme, mais ce n’était pas terrible. J’espère que tu vas te rattraper et faire mieux aujourd’hui.
Avant que je ne sois en état de dire un mot, elle m’annonça :
— Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien à mes parents. À moins que tu ne sois pas gentil avec moi. Si je leur montre les photos que j’ai prises hier soir, ils ne seront pas contents du tout.
Sur ce, elle se coucha sur moi, et sans aucune pudeur me roula un magnifique patin.
Et puis m… ! Je n’avais pas trop le choix ; et puis tant pis pour ma conscience. Depuis ces derniers jours – même si elle était comme ma fille – mon état d’esprit avait changé vis-à-vis d’elle. Et puis elle semblait vraiment amoureuse de moi.« Advienne que pourra : on n’a qu’une vie. » Je la pris dans mes bras, je fis rouler nos corps emmêlés et lui fis tendrement l’amour. Sans me vanter, je pense que c’était la première fois de ma vie que je me préoccupais vraiment de donner du plaisir à ma partenaire.
Pauline m’avait menti : ...